Sur 500 pêcheurs dénombrés dans la commune de GANDIOL, 25% sont des enfants de moins de 10 ans. Les pires formes de travail des enfants apparaissent dans les tous les secteurs d’activités économiques de la zone, de l’extraction du sel à la transformation des produits halieutiques, en passant par la culture de l’oignon et l’élevage.
Une situation « inquiétante » qui pousse PLAN a déployé une forte intervention, jeudi, dans le cadre de la 26e édition de la journée de l’enfant africain.
L’organisation internationale veut couper le mal à la racine en menant plusieurs actions de sensibilisation et d’information sur thème « implications de la valorisation des potentialités économiques sur la protection des enfants ».
A cet effet, un panel sur la thématique mettra en synergie, le service régional de Développement Communautaire, l’Agence Régional de Développement (Ard), l’AEMO, l’Inspection d’Académie, la région médicale, l’action sociale et le Service Régional du d’Appui au Développement Local (Sradl). Cette activité sera déroulée partenariat avec le Groupe de Mise en Œuvre (Gmo), les autorités administratives et autres organisations communautaires de base du Gandiolais.
« L’éducation est un droit humain et un facteur clé pour réduire la pauvreté et le travail des enfants », a rappelé Ousseynou DIOP, le coordonnateur régional de Plan à Saint-Louis, en marge d’une conférence de presse regroupant, mercredi, les parties prenantes à la journée de demain.
« Nous ferons le plaidoyer auprès de autorités politique pour l’adoption de mesures politiques, sociales et juridiques de protection des enfants sur les pires formes de travail des enfants », a-t-il ajouté.
> En vidéo, les explications d'Ousseynou ANNE, le chef du service de développement communautaire de Saint-Louis
Une situation « inquiétante » qui pousse PLAN a déployé une forte intervention, jeudi, dans le cadre de la 26e édition de la journée de l’enfant africain.
L’organisation internationale veut couper le mal à la racine en menant plusieurs actions de sensibilisation et d’information sur thème « implications de la valorisation des potentialités économiques sur la protection des enfants ».
A cet effet, un panel sur la thématique mettra en synergie, le service régional de Développement Communautaire, l’Agence Régional de Développement (Ard), l’AEMO, l’Inspection d’Académie, la région médicale, l’action sociale et le Service Régional du d’Appui au Développement Local (Sradl). Cette activité sera déroulée partenariat avec le Groupe de Mise en Œuvre (Gmo), les autorités administratives et autres organisations communautaires de base du Gandiolais.
« L’éducation est un droit humain et un facteur clé pour réduire la pauvreté et le travail des enfants », a rappelé Ousseynou DIOP, le coordonnateur régional de Plan à Saint-Louis, en marge d’une conférence de presse regroupant, mercredi, les parties prenantes à la journée de demain.
« Nous ferons le plaidoyer auprès de autorités politique pour l’adoption de mesures politiques, sociales et juridiques de protection des enfants sur les pires formes de travail des enfants », a-t-il ajouté.
> En vidéo, les explications d'Ousseynou ANNE, le chef du service de développement communautaire de Saint-Louis
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