Le groupe d’études et de recherches genre et société’’ (GESTES) de l’Université Gaston Berger (UGB), Dr Fatou Diop Sall, a initié vendredi un atelier pour sensibiliser les femmes sur les lois concernant le foncier.
Il s’agissait d’une restitution d’une enquête menée par ce groupe de recherches de l’Université Gaston Berger dans la vallée du fleuve Sénégal mais également en Casamance et au Sénégal Orientale.
Dr Fatou Diop Sall, la coordonnatrice du GESTES fait remarquer qu’il
y a une faible connaissance de la législation foncière dans les
zones enquêtées.
Selon elle ‘’cette méconnaissance est plus accentuée chez les
femmes car dépassant rarement 5%.’’. elle donne l’exemple dans la Vallée du
Fleuve, où en ce qui concerne les femmes seules 3% connaissent la loi
sur le domaine national, 2% le Code des collectivités locales et 1%
la loi d’orientation agro sylvo pastorale de 2004.
Elle prêche pour ‘’la sensibilisation et l'information sur le foncier qui sont importantes pour favoriser l'accès des femmes au foncier. En outre 27% d'entre elles connaissent la loi sur la parité. La loi sur la parité est la plus connue. Elle a fait l’objet d’un débat
national et a été bien relayée dans les médias. La connaissance de la
loi sur la parité constitue un point important’’.
estimé que, malgré sa consécration par des lois et dispositions, le droit d’appropriation privative du foncier reconnu à la femme pose problème au plan de son effectivité. Au nom des femmes conviées à cet atelier, la conseillère rurale Maimouna Diop a remercié le GESTES qui, avec son partenaire américain l’USAID, les accompagne dans ce vaste projet d’accès à la terre par la sensibilisation.
Cette rencontre regroupait des femmes des communautés rurales de Gandon, Ndiébéne Gandiol et Fass.
Il s’agissait d’une restitution d’une enquête menée par ce groupe de recherches de l’Université Gaston Berger dans la vallée du fleuve Sénégal mais également en Casamance et au Sénégal Orientale.
Dr Fatou Diop Sall, la coordonnatrice du GESTES fait remarquer qu’il
y a une faible connaissance de la législation foncière dans les
zones enquêtées.
Selon elle ‘’cette méconnaissance est plus accentuée chez les
femmes car dépassant rarement 5%.’’. elle donne l’exemple dans la Vallée du
Fleuve, où en ce qui concerne les femmes seules 3% connaissent la loi
sur le domaine national, 2% le Code des collectivités locales et 1%
la loi d’orientation agro sylvo pastorale de 2004.
Elle prêche pour ‘’la sensibilisation et l'information sur le foncier qui sont importantes pour favoriser l'accès des femmes au foncier. En outre 27% d'entre elles connaissent la loi sur la parité. La loi sur la parité est la plus connue. Elle a fait l’objet d’un débat
national et a été bien relayée dans les médias. La connaissance de la
loi sur la parité constitue un point important’’.
estimé que, malgré sa consécration par des lois et dispositions, le droit d’appropriation privative du foncier reconnu à la femme pose problème au plan de son effectivité. Au nom des femmes conviées à cet atelier, la conseillère rurale Maimouna Diop a remercié le GESTES qui, avec son partenaire américain l’USAID, les accompagne dans ce vaste projet d’accès à la terre par la sensibilisation.
Cette rencontre regroupait des femmes des communautés rurales de Gandon, Ndiébéne Gandiol et Fass.