D’abord, Saint-Louis Jazz refuse de s’ouvrir et se renfrogne sur elle-même au détriment des professionnels du Jazz et férus de cette musique. L’association reste strictement hermétique (il faut être parrainé par un membre de Saint-Louis Jazz pour entrer dans le groupe restreint).
Par ailleurs, à la fin de l’édition 2015, d’importants des décisions stratégiques ont été prises pour l’édition à venir, sans matérialisation concrète. Parmi eux, la révision des statuts, règlement intérieur et du manuel de procédure de l’association, la création d’une SARL chargée de l’organisation d’évènementiel avec l’Association Saint-Louis Jazz comme société majoritaire.
Mais, il s’agissait surtout de mettre en place des sociétés en participation à la place des commissions pour résoudre le problème lancinent des tensions liées à la rémunération des membres.
La capacité de nouer des relations de confiance avec les partenaires et institutions publiques serait-elle la source de la défaillance et de la réduction du taux de participation ? La Présidence de la République du Sénégal qui, durant les 3 dernières années allouait une subvention de 10.000.000 FCFA avait remis juste une somme de 5.000.000 FCFA à l’association en 2015.
Aujourd’hui, malgré les lendemains sombres, la machine est encore en marche avec le soutien de la Mairie de Saint Louis, du Ministère de la Culture, de l’Ambassade de France/SCAC, du Grand-duché de Luxembourg, des Ambassades des États –Unis, de la Suisse, d’Autriche, d’Italie, de l’Afrique du SUD, de la Délégation Wallonie Bruxelles, du Partenariat Lille Saint-Louis, de l’Institut français et de l’Office du Tourisme.
Dans son rapport, Le Festival dit souffrir « de manque de moyens correspondants à la dimension de l’événement ». Le document souligne que « la gestion de l’édition 2015 n’a pas été excédentaire contrairement aux deux précédentes années. « Jusqu'à ce jour tous les engagements et promesses vis-à-vis de Saint-Louis Jazz ne sont pas encore honorés et les attentes insatisfaites
« Aucune banque n’a voulu nous consentir un découvert pour solder les encours », laisse croire le document qui évoque la possibilité d’un recours à une institution financière pour obtenir un crédit en 2016. Selon Saint-Louis Jazz, « seuls 38% du budget prévisionnel a été recouvert en 2015 » sur un budget total de 214 millions de francs CFA.
NDARINFO.COM
Par ailleurs, à la fin de l’édition 2015, d’importants des décisions stratégiques ont été prises pour l’édition à venir, sans matérialisation concrète. Parmi eux, la révision des statuts, règlement intérieur et du manuel de procédure de l’association, la création d’une SARL chargée de l’organisation d’évènementiel avec l’Association Saint-Louis Jazz comme société majoritaire.
Mais, il s’agissait surtout de mettre en place des sociétés en participation à la place des commissions pour résoudre le problème lancinent des tensions liées à la rémunération des membres.
La capacité de nouer des relations de confiance avec les partenaires et institutions publiques serait-elle la source de la défaillance et de la réduction du taux de participation ? La Présidence de la République du Sénégal qui, durant les 3 dernières années allouait une subvention de 10.000.000 FCFA avait remis juste une somme de 5.000.000 FCFA à l’association en 2015.
Aujourd’hui, malgré les lendemains sombres, la machine est encore en marche avec le soutien de la Mairie de Saint Louis, du Ministère de la Culture, de l’Ambassade de France/SCAC, du Grand-duché de Luxembourg, des Ambassades des États –Unis, de la Suisse, d’Autriche, d’Italie, de l’Afrique du SUD, de la Délégation Wallonie Bruxelles, du Partenariat Lille Saint-Louis, de l’Institut français et de l’Office du Tourisme.
Dans son rapport, Le Festival dit souffrir « de manque de moyens correspondants à la dimension de l’événement ». Le document souligne que « la gestion de l’édition 2015 n’a pas été excédentaire contrairement aux deux précédentes années. « Jusqu'à ce jour tous les engagements et promesses vis-à-vis de Saint-Louis Jazz ne sont pas encore honorés et les attentes insatisfaites
« Aucune banque n’a voulu nous consentir un découvert pour solder les encours », laisse croire le document qui évoque la possibilité d’un recours à une institution financière pour obtenir un crédit en 2016. Selon Saint-Louis Jazz, « seuls 38% du budget prévisionnel a été recouvert en 2015 » sur un budget total de 214 millions de francs CFA.
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