La crise secoue l’auberge la Louisiane, au nord de l’ile de Saint-Louis. Après la faillite et la fermeture de cette boite, les ex. Travailleurs décident de poursuivre l’exagérant Marcel Savi De TOVE, qui selon eux, leur doit 12 millions de francs CFA, comme arriérés de salaire.
Profitant d’une visite de Sidiya Ndiaye, le Secrétaire général de la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (Fgts), le personnel s’est insurgé contre une mauvaise gestion de l’auberge et révèle que « la société a été gérée comme « un patrimoine familial ».
« Sa femme avait un salaire dans l’entreprise malgré qu’elle ne travaillait pas », a renseigné Talam FALL, secrétaire générale de la section saint-louisienne du FGTS.
« Nous avons saisi le tribunal. Ils n’on pas reçu de notifications de cessation d’emploi », a-t-il, en indiquant que la bataille judiciaire sera maintenue pour que
Joint au téléphone M. SAVI DE TOVE trouve ces accusations diffamatoires et annonce une plainte contre l’un des travailleurs Amadou NDIAYE pour laver son honneur.
En a croire l’ex-gérant, la fermeture de la boite résulte de la situation délicate dans laquelle le tourisme est plongé.
« J’ai fait un dépôt de bilan en bonne et due forme en respectant la procédure que l’État imposé », soutient Marcel SAVI, en indiquant que des propositions à l’amiable faites aux agents, ont été rejetées par ces derniers
Il a signalé par ailleurs avoir une dette de 7 millions de salaires à payer contrairement aux 12 millions annoncés par ces ex-emplois.
NDARINFO.COM
Profitant d’une visite de Sidiya Ndiaye, le Secrétaire général de la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (Fgts), le personnel s’est insurgé contre une mauvaise gestion de l’auberge et révèle que « la société a été gérée comme « un patrimoine familial ».
« Sa femme avait un salaire dans l’entreprise malgré qu’elle ne travaillait pas », a renseigné Talam FALL, secrétaire générale de la section saint-louisienne du FGTS.
« Nous avons saisi le tribunal. Ils n’on pas reçu de notifications de cessation d’emploi », a-t-il, en indiquant que la bataille judiciaire sera maintenue pour que
Joint au téléphone M. SAVI DE TOVE trouve ces accusations diffamatoires et annonce une plainte contre l’un des travailleurs Amadou NDIAYE pour laver son honneur.
En a croire l’ex-gérant, la fermeture de la boite résulte de la situation délicate dans laquelle le tourisme est plongé.
« J’ai fait un dépôt de bilan en bonne et due forme en respectant la procédure que l’État imposé », soutient Marcel SAVI, en indiquant que des propositions à l’amiable faites aux agents, ont été rejetées par ces derniers
Il a signalé par ailleurs avoir une dette de 7 millions de salaires à payer contrairement aux 12 millions annoncés par ces ex-emplois.
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