Un atelier de formation destiné à plus 150 observateurs du Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) sest ouvert lundi à Saint-Louis, dans le cadre des préparatifs de lélection présidentielle du 26 février.
Pendant trois jours, les observateurs issus des groupes citoyens et médiatiques seront formés sur le processus électoral, a révélé Ndèye Anta Kane Diallo, coordonnatrice régionale de ce programme du Réseau africain pour le développement intégré (RADI).
Sur le choix des observateurs, Mme Diallo a indiqué quil faut avoir le BFEM et être membre de la société civile pour pouvoir superviser le scrutin présidentiel ou législatif.
Dans ce contexte, a-t-elle dit, la société civile sénégalaise, à travers le COSCE, est devenue un élément incontournable dans la régulation du jeu politique et joue un rôle dalerte et de force propositions.
Le COSCE créé en 1999 est rompu aux questions de gouvernance politique et de monitoring de processus électoraux.
Ainsi de 2000 à 2007, la société civile sénégalaise a mené des actions de sensibilisation, sur les processus électoraux, lobservation et la médiation entre les acteurs politiques.
Sur un dispositif de coordination au niveau national, la mission sera de couvrir tous les points focaux de la région Nord, selon Mme Diallo.
Elle a souligné que le COSCE a bénéficié de lappui de l'USAID et dautres partenaires, pour contribuer à la consolidation de la démocratie sénégalaise et favoriser des lendemains électoraux paisibles.
Lobservatoire, a-elle indiqué, sera en contact avec les acteurs chargés de lorganisation et la supervision, avec le ministère des Elections et la CEDA (Commission électorale départementale autonome).
Elle a noté que les ONG One World UK et Open Society for West Africa (OSIWA), dans un projet intitulé programme pour des élections libres transparentes et apaisées, compte mobiliser 500 observateurs sur le territoire national.
Selon l'APS
Pendant trois jours, les observateurs issus des groupes citoyens et médiatiques seront formés sur le processus électoral, a révélé Ndèye Anta Kane Diallo, coordonnatrice régionale de ce programme du Réseau africain pour le développement intégré (RADI).
Sur le choix des observateurs, Mme Diallo a indiqué quil faut avoir le BFEM et être membre de la société civile pour pouvoir superviser le scrutin présidentiel ou législatif.
Dans ce contexte, a-t-elle dit, la société civile sénégalaise, à travers le COSCE, est devenue un élément incontournable dans la régulation du jeu politique et joue un rôle dalerte et de force propositions.
Le COSCE créé en 1999 est rompu aux questions de gouvernance politique et de monitoring de processus électoraux.
Ainsi de 2000 à 2007, la société civile sénégalaise a mené des actions de sensibilisation, sur les processus électoraux, lobservation et la médiation entre les acteurs politiques.
Sur un dispositif de coordination au niveau national, la mission sera de couvrir tous les points focaux de la région Nord, selon Mme Diallo.
Elle a souligné que le COSCE a bénéficié de lappui de l'USAID et dautres partenaires, pour contribuer à la consolidation de la démocratie sénégalaise et favoriser des lendemains électoraux paisibles.
Lobservatoire, a-elle indiqué, sera en contact avec les acteurs chargés de lorganisation et la supervision, avec le ministère des Elections et la CEDA (Commission électorale départementale autonome).
Elle a noté que les ONG One World UK et Open Society for West Africa (OSIWA), dans un projet intitulé programme pour des élections libres transparentes et apaisées, compte mobiliser 500 observateurs sur le territoire national.
Selon l'APS