Ce forum aura comme intervenant principal, le directeur de l’Institut des futurs africains, Alioune Sall, spécialiste de la prospective dans le continent africain. Il prévu la participation d’autres experts et d’anciens diplômés de l’école en activité dans divers pays du continent, pour apporter leurs contributions dans le concept de l’Ecole du futur en 2020, a expliqué M. Diaw.
Il s’agira, pour les panélistes, de se prononcer, par exemple, sur la place des mathématiques, de l’art, des compétences techniques, de la technologie, de l’enseignement virtuel, entre autres dans l’école de demain, a-t-il indiqué. Une occasion selon lui pour engager la réflexion sur l’avenir de l’enseignement supérieur, notamment de la formation professionnelle dans le privé.
« L’avenir de l’enseignement supérieur ne réside pas seulement dans la formation professionnelle. Certes, on ne peut pas bâtir un pays et mettre en place une politique de développement en faisant fi d’une formation professionnelle, mais il y a toute une démarche et des projections à faire », a-t-il souligné.
Ainsi, en marge du forum, l’ISM va signer une convention avec les anciens de l’école pour « éclairer l’Institut dans son organisation et dans la définition des programmes pour le futur », selon le président du Groupe.
Il est aujourd’hui fait état d’une « pléthore d’instituts de formation, de Business Schools, mais nous sommes dans un pays qui est un pôle d’excellence au niveau continental », a-t-il fait valoir, en réponse à une question sur la floraison d’instituts de formation privés au Sénégal.
Selon Amadou Diaw, »il faut mettre en exergue cet atout, c’est un fait, il y a prés de 200 écoles de commerce, (mais) c’est une force. Il faut juste veiller pour que ce soit des écoles de qualité ».
Dans cette perspective, il a signalé pour s’en féliciter la création de l’Agence nationale pour la qualité de l’enseignement supérieur (ANAQ), chargée de veiller à la qualité de ces établissements, « un élément positif » d’après lui.
« Ces écoles produisent des cadres pour le continent africain et l’ISM a fait le choix d’accompagner les étudiants vers la culture d’entreprise, en mettant en avant l’approche +apprendre pour entreprendre+ », a soutenu M. Diaw.
Pour Amadou Diaw, « il ne s’agit pas toujours de vouloir trouver un emploi parce que le secteur privé sénégalais est encore trop réduit. Il nous faut créer un véritable secteur privé et c’est aux diplômés de ces écoles de créer les entreprises de demain ».
Créé en 1992, l’ISM compte aujourd’hui prés de 15.000 diplômés de diverses nationalités.
Il s’agira, pour les panélistes, de se prononcer, par exemple, sur la place des mathématiques, de l’art, des compétences techniques, de la technologie, de l’enseignement virtuel, entre autres dans l’école de demain, a-t-il indiqué. Une occasion selon lui pour engager la réflexion sur l’avenir de l’enseignement supérieur, notamment de la formation professionnelle dans le privé.
« L’avenir de l’enseignement supérieur ne réside pas seulement dans la formation professionnelle. Certes, on ne peut pas bâtir un pays et mettre en place une politique de développement en faisant fi d’une formation professionnelle, mais il y a toute une démarche et des projections à faire », a-t-il souligné.
Ainsi, en marge du forum, l’ISM va signer une convention avec les anciens de l’école pour « éclairer l’Institut dans son organisation et dans la définition des programmes pour le futur », selon le président du Groupe.
Il est aujourd’hui fait état d’une « pléthore d’instituts de formation, de Business Schools, mais nous sommes dans un pays qui est un pôle d’excellence au niveau continental », a-t-il fait valoir, en réponse à une question sur la floraison d’instituts de formation privés au Sénégal.
Selon Amadou Diaw, »il faut mettre en exergue cet atout, c’est un fait, il y a prés de 200 écoles de commerce, (mais) c’est une force. Il faut juste veiller pour que ce soit des écoles de qualité ».
Dans cette perspective, il a signalé pour s’en féliciter la création de l’Agence nationale pour la qualité de l’enseignement supérieur (ANAQ), chargée de veiller à la qualité de ces établissements, « un élément positif » d’après lui.
« Ces écoles produisent des cadres pour le continent africain et l’ISM a fait le choix d’accompagner les étudiants vers la culture d’entreprise, en mettant en avant l’approche +apprendre pour entreprendre+ », a soutenu M. Diaw.
Pour Amadou Diaw, « il ne s’agit pas toujours de vouloir trouver un emploi parce que le secteur privé sénégalais est encore trop réduit. Il nous faut créer un véritable secteur privé et c’est aux diplômés de ces écoles de créer les entreprises de demain ».
Créé en 1992, l’ISM compte aujourd’hui prés de 15.000 diplômés de diverses nationalités.