Le nouvel ensemble ainsi créé, regrouperait plus de 400 000 salariés à travers le monde pour un volume de ventes de près de 8 millions de véhicules en 2019, soit avant la crise sanitaire. La nouvelle entité, nommée Stellantis, abriterait alors sous le même toit 14 marques connues comme Peugeot, Jeep, Fiat, Alfa Romeo ou Maserati.
Si aucune fermeture d’usine n’est prévue, ce rapprochement devrait permettre aux deux groupes de faire des économies : environ 5 milliard d'euros par an, en réduisant leurs coûts de développement et de construction. Grâce à cette union, Fiat-Chrysler pourrait renforcer sa présence en Europe en profitant de la bonne implantation de PSA sur le vieux continent. De son côté le groupe français pourrait se réimplanter aux États-Unis grâce à son allié italo-américain.
La fusion de ces deux géants a obtenu fin décembre le feu vert de la Commission européenne mais pas sans conditions : en effet, les deux groupes se sont engagés à respecter la concurrence sur le marché européen des camionnettes utilitaires légères, un marché où ils sont déjà très présents.
RFI
Si aucune fermeture d’usine n’est prévue, ce rapprochement devrait permettre aux deux groupes de faire des économies : environ 5 milliard d'euros par an, en réduisant leurs coûts de développement et de construction. Grâce à cette union, Fiat-Chrysler pourrait renforcer sa présence en Europe en profitant de la bonne implantation de PSA sur le vieux continent. De son côté le groupe français pourrait se réimplanter aux États-Unis grâce à son allié italo-américain.
La fusion de ces deux géants a obtenu fin décembre le feu vert de la Commission européenne mais pas sans conditions : en effet, les deux groupes se sont engagés à respecter la concurrence sur le marché européen des camionnettes utilitaires légères, un marché où ils sont déjà très présents.
RFI