‘’Elles (ces personnes) font l’objet d’un examen médical bi quotidien’’, précise le département de la Santé dans un Communiqué N°2 sur la fièvre à virus Ebola transmis dimanche à l’APS.
Le ministère souligne que ‘’dans le cadre du dispositif de surveillance et de riposte à la fièvre à virus Ebola déjà mis en place, toutes les mesures et procédures rendues nécessaires après l’apparition du premier cas importé ont été effectivement mises en œuvre’’.
Ainsi, relève le communiqué, ‘’la concession dans laquelle était domiciliée la personne atteinte a été entièrement désinfectée par le Service national de l’Hygiène’’.
Le patient guinéen infecté par le virus ‘’continue de recevoir un traitement approprié et son état général s’améliore’’, selon le ministère, assurant qu’à ce jour, ‘’aucun nouveau cas confirmé n’a été enregistré au Sénégal’’.
Il signale que les services de Santé, ‘’sur l’ensemble du territoire national en collaboration avec les autres secteurs, sont mobilisés et appliquent les directives édictées en matière de sensibilisation, de surveillance, de détection et de prise en charge de cas suspects’’.
Dans son communiqué, le ministère de la Santé et de l’Action sociale ‘’réitère son appel à la sérénité et à une application rigoureuse des mesures préventives préconisées’’.
Le patient infecté par le virus se porte bien, mais se trouve toujours en isolement à l’Hôpital de Fann, à Dakar, selon un médecin interrogé dimanche par la Radio Futurs médias (RFM).
Ce malade ‘’se porte bien et n’a plus de fièvre’’, a-t-il dit, soulignant toutefois que d’autres tests devront être réalisés prochainement sur le patient.
Un premier cas de fièvre Ebola a été signalé vendredi au Sénégal par le ministère de la Santé et de l'Action sociale.
Un jeune Guinéen infecté par le virus Ebola est mis en quarantaine à l'hôpital de Fann, à Dakar, où il reçoit un traitement, a annoncé la ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck.
Le cas de cet étudiant de 21 ans inscrit dans une université de Conakry (Guinée) a été signalé mercredi aux autorités sanitaires sénégalaises par les responsables guinéens, qui l'avaient perdu de vue, selon Mme Seck.
( avec APS)
Le ministère souligne que ‘’dans le cadre du dispositif de surveillance et de riposte à la fièvre à virus Ebola déjà mis en place, toutes les mesures et procédures rendues nécessaires après l’apparition du premier cas importé ont été effectivement mises en œuvre’’.
Ainsi, relève le communiqué, ‘’la concession dans laquelle était domiciliée la personne atteinte a été entièrement désinfectée par le Service national de l’Hygiène’’.
Le patient guinéen infecté par le virus ‘’continue de recevoir un traitement approprié et son état général s’améliore’’, selon le ministère, assurant qu’à ce jour, ‘’aucun nouveau cas confirmé n’a été enregistré au Sénégal’’.
Il signale que les services de Santé, ‘’sur l’ensemble du territoire national en collaboration avec les autres secteurs, sont mobilisés et appliquent les directives édictées en matière de sensibilisation, de surveillance, de détection et de prise en charge de cas suspects’’.
Dans son communiqué, le ministère de la Santé et de l’Action sociale ‘’réitère son appel à la sérénité et à une application rigoureuse des mesures préventives préconisées’’.
Le patient infecté par le virus se porte bien, mais se trouve toujours en isolement à l’Hôpital de Fann, à Dakar, selon un médecin interrogé dimanche par la Radio Futurs médias (RFM).
Ce malade ‘’se porte bien et n’a plus de fièvre’’, a-t-il dit, soulignant toutefois que d’autres tests devront être réalisés prochainement sur le patient.
Un premier cas de fièvre Ebola a été signalé vendredi au Sénégal par le ministère de la Santé et de l'Action sociale.
Un jeune Guinéen infecté par le virus Ebola est mis en quarantaine à l'hôpital de Fann, à Dakar, où il reçoit un traitement, a annoncé la ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck.
Le cas de cet étudiant de 21 ans inscrit dans une université de Conakry (Guinée) a été signalé mercredi aux autorités sanitaires sénégalaises par les responsables guinéens, qui l'avaient perdu de vue, selon Mme Seck.
( avec APS)