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Dans la mise en oeuvre de ce projet, la Commune de Saint-Louis s’est appuyée sur l’expérience de l’ONG Le Partenariat acquise au cours de la mise en œuvre de ses différents projets Biogaz, à la fois sur la commune de Saint-Louis( notamment au Centre d’Initiation horticole (CIH) et aux abattoirs de la Sogas de Khor) mais aussi dans la région (à Podor et Guédé-Chantier).
Balla GUEYE, l’adjoint au maire, chargé des occupations des domaines publics et privés cadre de vie et voirie communale, a insisté sur l’importance du projet qui, renseigne-t-il, s’inscrit en ligne avec l’Agenda 21 et le programme « Saint-Louis Objef 2030 ». En faisant part du " grand intérêt" de la Commune de Saint-Louis accorde à ce projet et sa « ferme volonté » de « booster l’utilisation des énergies renouvelables », il a assuré que « la mairie ne ménagera aucun offert pour accompagner ce projet ».
« C’est une réponse pertinente aux grands défis environnementaux qui nous interpellent notamment la déforestation et l’usage massive du bois de chauffe dans les ménages », a signalé M. GUEYE.
Le biogaz, une énergie issue de la décomposition des déchets organiques, représente une source d’énergie renouvelable accessible et durable pour la population sénégalaise. Ce procédé, facile d’utilisation, permet de répondre à la fois au défi énergétique et l’accession à tous à une source d’énergie durable et renouvelable.
Il faut rappeler que ce projet d’une durée d’un an, a pour objectif de permettre l’émergence d’une filière Biogaz durable dans la Commune. Il s’inscrit dans la dynamique nationale initiée par le programme national Biogaz (PNB-SN) et portée par le ministère de l’Énergie, mais aussi dans le contexte local de la ville de Saint-Louis, via notamment la mise en place d’une cadre de concertation énergie sur la Commune de Saint-Louis.
« Biogaz ville de Saint-Louis » va fonctionner à la lumière des orientations définies par le comité de suivi et un autre plus restreint regroupant des acteurs et spécialistes des énergies renouvelables. La création de conditions adéquates pour l’émergence de conditions nécessaires pouvant permettre l’installation d’un marché durable du Biogaz à Saint-Louis, est visée à travers ce processus enclenché.
« La ville de Saint-Louis a depuis longtemps exprimé sa volonté de s’inscrire dans une démarche de développement durable à travers différentes orientations dans le cadre de son développement et dans ses documents de planification », a indiqué Nicolas DUPUY, coordonnateur du Partenariat qui renouvelle l’engagement de son ONG à accompagner les collectivités locales du nord « dans la diffusion des innovations en matière de développement durable ».
« Au niveau du partenariat, nous accompagnons la ville de Saint-Louis dans cette option », a-t-il dit, en révélant que l’expertise glanée par son organisation sera mise à profit.
« La formulation du projet est l’aboutissement d’un processus de concertations plusieurs acteurs locaux, dont l’Agence de Développement communal (ADC), l’Université Gaston Berger (UGB), les femmes transformatrices de produits locaux et conseil de quartier) », a rappelé M. DUPUY.
Au fil du projet, 20 biodigesteurs seront créés sur le territoire communal et 10 maçons locaux seront formés. Des activités de sensibilisation seront déroulées à l’endroit des bénéficiaires sur les avantages du Biogaz.
Balla GUEYE, l’adjoint au maire, chargé des occupations des domaines publics et privés cadre de vie et voirie communale, a insisté sur l’importance du projet qui, renseigne-t-il, s’inscrit en ligne avec l’Agenda 21 et le programme « Saint-Louis Objef 2030 ». En faisant part du " grand intérêt" de la Commune de Saint-Louis accorde à ce projet et sa « ferme volonté » de « booster l’utilisation des énergies renouvelables », il a assuré que « la mairie ne ménagera aucun offert pour accompagner ce projet ».
« C’est une réponse pertinente aux grands défis environnementaux qui nous interpellent notamment la déforestation et l’usage massive du bois de chauffe dans les ménages », a signalé M. GUEYE.
Le biogaz, une énergie issue de la décomposition des déchets organiques, représente une source d’énergie renouvelable accessible et durable pour la population sénégalaise. Ce procédé, facile d’utilisation, permet de répondre à la fois au défi énergétique et l’accession à tous à une source d’énergie durable et renouvelable.
Il faut rappeler que ce projet d’une durée d’un an, a pour objectif de permettre l’émergence d’une filière Biogaz durable dans la Commune. Il s’inscrit dans la dynamique nationale initiée par le programme national Biogaz (PNB-SN) et portée par le ministère de l’Énergie, mais aussi dans le contexte local de la ville de Saint-Louis, via notamment la mise en place d’une cadre de concertation énergie sur la Commune de Saint-Louis.
« Biogaz ville de Saint-Louis » va fonctionner à la lumière des orientations définies par le comité de suivi et un autre plus restreint regroupant des acteurs et spécialistes des énergies renouvelables. La création de conditions adéquates pour l’émergence de conditions nécessaires pouvant permettre l’installation d’un marché durable du Biogaz à Saint-Louis, est visée à travers ce processus enclenché.
« La ville de Saint-Louis a depuis longtemps exprimé sa volonté de s’inscrire dans une démarche de développement durable à travers différentes orientations dans le cadre de son développement et dans ses documents de planification », a indiqué Nicolas DUPUY, coordonnateur du Partenariat qui renouvelle l’engagement de son ONG à accompagner les collectivités locales du nord « dans la diffusion des innovations en matière de développement durable ».
« Au niveau du partenariat, nous accompagnons la ville de Saint-Louis dans cette option », a-t-il dit, en révélant que l’expertise glanée par son organisation sera mise à profit.
« La formulation du projet est l’aboutissement d’un processus de concertations plusieurs acteurs locaux, dont l’Agence de Développement communal (ADC), l’Université Gaston Berger (UGB), les femmes transformatrices de produits locaux et conseil de quartier) », a rappelé M. DUPUY.
Au fil du projet, 20 biodigesteurs seront créés sur le territoire communal et 10 maçons locaux seront formés. Des activités de sensibilisation seront déroulées à l’endroit des bénéficiaires sur les avantages du Biogaz.
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