Le ministre des Mines, de l’Industrie, de l’Agro-industrie et des PME Abdoulaye Baldé a appelé, samedi à Dakar, les grandes entreprises telles que la SOCOCIM et les ICS à participer à la résolution de la crise énergétique en se dotant de centrales électriques.
"Nous avons encouragé les entreprises à participer à trouver des solutions. C’est comme ça que j’ai encouragé de grandes entreprises comme les ICS, la SOCIM et d’autres entreprises qui sont dans le domaine des mines, à avoir leurs propres centrales", dit le ministre d’Etat Abdoulaye Baldé.
Il s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture de l’assemblée générale et des assises annuelles du Mouvement des entreprises du Sénégal (MEDS) sur le thème "Quelle gouvernance pour une économie émergente ?".
"Ce qui fait que les ICS vont bientôt avoir leur propre centrale. Je dois bientôt inaugurer une centrale que l’entreprise Kirène a mis en place, qui a une grande capacité", a ajouté M. Baldé.
Il a relevé que la SOCOCIM s’est également déconnectée du réseau. Cela permettra, a-t-il souligné, de libérer un certain nombre de mégawatts qui serviront aux ménages et aux Petites et moyennes entreprises (PME).
Abdoulaye Baldé a reconnu les conséquences de la crise énergétique sur la politique de redéploiement industriel et la croissance des entreprises ces dernières années.
Le président du MEDS Mbagnick Diop a pour sa part indiqué que 2010 a été "une année difficile" pour les entreprises sénégalaises, du fait de la crise énergétique que connait le pays.
"Les délestages, les coupures intempestives de l’électricité ont lourdement handicapé notre appareil de production. L’économie sénégalaise a profondément souffert de l’insuffisance de l’offre d’énergie dans notre pays", a-t-il noté.
Selon M. Diop, si cette situation devait perdurer, elle anéantirait les investissements et nos efforts de développement".
Il a invité le gouvernement à trouver une solution définitive à la crise de l’énergie, estimant que "la persistance de cette crise compromettrait notre ambition de devenir un pays émergent dans le court terme".
"Le redressement de la situation énergétique du pays doit être érigé au rang de première priorité nationale", a répondu le ministre des Mines, de l’Industrie, de l’Agro-industrie et des PME.
"Nous avons encouragé les entreprises à participer à trouver des solutions. C’est comme ça que j’ai encouragé de grandes entreprises comme les ICS, la SOCIM et d’autres entreprises qui sont dans le domaine des mines, à avoir leurs propres centrales", dit le ministre d’Etat Abdoulaye Baldé.
Il s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture de l’assemblée générale et des assises annuelles du Mouvement des entreprises du Sénégal (MEDS) sur le thème "Quelle gouvernance pour une économie émergente ?".
"Ce qui fait que les ICS vont bientôt avoir leur propre centrale. Je dois bientôt inaugurer une centrale que l’entreprise Kirène a mis en place, qui a une grande capacité", a ajouté M. Baldé.
Il a relevé que la SOCOCIM s’est également déconnectée du réseau. Cela permettra, a-t-il souligné, de libérer un certain nombre de mégawatts qui serviront aux ménages et aux Petites et moyennes entreprises (PME).
Abdoulaye Baldé a reconnu les conséquences de la crise énergétique sur la politique de redéploiement industriel et la croissance des entreprises ces dernières années.
Le président du MEDS Mbagnick Diop a pour sa part indiqué que 2010 a été "une année difficile" pour les entreprises sénégalaises, du fait de la crise énergétique que connait le pays.
"Les délestages, les coupures intempestives de l’électricité ont lourdement handicapé notre appareil de production. L’économie sénégalaise a profondément souffert de l’insuffisance de l’offre d’énergie dans notre pays", a-t-il noté.
Selon M. Diop, si cette situation devait perdurer, elle anéantirait les investissements et nos efforts de développement".
Il a invité le gouvernement à trouver une solution définitive à la crise de l’énergie, estimant que "la persistance de cette crise compromettrait notre ambition de devenir un pays émergent dans le court terme".
"Le redressement de la situation énergétique du pays doit être érigé au rang de première priorité nationale", a répondu le ministre des Mines, de l’Industrie, de l’Agro-industrie et des PME.