Le gouvernement mauritanien a pris une série de mesures en vue de favoriser et de protéger la production nationale de riz et répondre aux aspirations des consommateurs, selon le ministre de l’agriculture, Brahim Ould M’Bareck Ould Mohamed Moctar, qui s’exprimait vendredi àKaédi (430 kilomètres au Sud/Est de Nouakchott), dans le cadre d’une réunion avec les professionnels de la filière.
Ces mesures portent sur les prix consentis aux producteurs, qui vont désormais de 80 à 103 ouguiyas le kilogramme, la fermeture prochaine des frontières nationales aux riz importé et, en attendant, la hausse de la pression des droit de douane sur ce riz importé.
A cela s’ajoute la création prochaine d’un établissement dédié à l’assurance agricole dont le capital sera détenu par le public, avec la participation des opérateurs privés.
Au-delà des propos, de nombreux observateurs relèvent une contradiction flagrante dans le discours du responsable gouvernemental mauritanien «qui annonce à la fois la fermeture des frontières nationales au riz importé et une hausse de la pression des taxes douanières sur la même d’entrée».
Cridem
Ces mesures portent sur les prix consentis aux producteurs, qui vont désormais de 80 à 103 ouguiyas le kilogramme, la fermeture prochaine des frontières nationales aux riz importé et, en attendant, la hausse de la pression des droit de douane sur ce riz importé.
A cela s’ajoute la création prochaine d’un établissement dédié à l’assurance agricole dont le capital sera détenu par le public, avec la participation des opérateurs privés.
Au-delà des propos, de nombreux observateurs relèvent une contradiction flagrante dans le discours du responsable gouvernemental mauritanien «qui annonce à la fois la fermeture des frontières nationales au riz importé et une hausse de la pression des taxes douanières sur la même d’entrée».
Cridem