Six régions ont été retenues, après la réouverture des frontières avec la Guinée, pour abriter des centres de traitement et de prise en charge des cas suspects liés à la maladie à virus Ebola, a indiqué, mercredi, Rassoul Bâ, ingénieur du Génie sanitaire. ''Il s’agit des régions de Dakar, de Saint-Louis, de Sédhiou, Tambacounda, Kolda, et Kaolack’’, a précisé M. Bâ, lors de l’atelier de formation portant sur la gestion de ces centres. La rencontre est destinée aux agents d’hygiène de ces sites.
Selon lui, ces régions ont été identifiées ''comme les plus appropriées'' pour abriter ces centres de traitement.
''Le Choix de la région de Dakar, a-t-il expliqué, est lié au fait que tout le monde y va par voies terrestres comme aériennes. Quant à Saint-Louis, les gens de pays limitrophes peuvent y accéder par voie fluviale, alors que pour Tambacounda, sa situation proche de pays comme le Mali et la Guinée présente des risques''.
''Quant aux régions de Kolda, de Sédhiou, ou encore de Ziguinchor, elles présentent toutes les mêmes caractéristiques que celles de Tambacounda. Ce sont toutes des régions frontalières à des pays à risques où les gens circulent’’, a-t-il ajouté.
Ouvert mardi à Kaolack, l’atelier de formation des agents d’hygiène sur la gestion des centres de traitement et de prise en charge de la maladie à virus Ebola, se poursuit jusqu’à jeudi.
''Cet atelier de formation vient en appoint à l’identification des sites des centres’’, a expliqué M. Bâ, par ailleurs, en charge de la conduite de la formation des hygiénistes et chef de la brigade régionale d’hygiène de Dakar.
Selon lui, cet atelier entre dans la préparation du Sénégal à faire face à une éventuelle épidémie. ''La maladie est encore aux portes de nos frontières. Il s’agit donc, pour le Sénégal, de se préparer pour faire face à cette éventualité’’, a-t-il précisé.
''La circulation des personnes entre les pays favorise la transmission de cette maladie. Une situation qui fait que le Sénégal est potentiellement accessible à cette maladie. Donc, il est bon de se préparer'', a-t-il estimé.
Durant ces trois jours, a-t-il indiqué, il sera question de former les agents d’hygiène des six centres de traitement retenus sur la prise en charge correcte de ces centres, sur les procédés de décontamination, sur la protection du personnel qui doit officier dans ces centres.
L'objectif est de se pencher ''sur les précautions sanitaires à suivre aussi bien par le personnels que les patients sur place'', a-t-il résumé.
''Il s’agit aujourd’hui d’aller dans une disposition de prise en charge des cas suspects après identification des sites les plus appropriés pour abriter ces centres'', dit Rassoul Bâ.
APS
Selon lui, ces régions ont été identifiées ''comme les plus appropriées'' pour abriter ces centres de traitement.
''Le Choix de la région de Dakar, a-t-il expliqué, est lié au fait que tout le monde y va par voies terrestres comme aériennes. Quant à Saint-Louis, les gens de pays limitrophes peuvent y accéder par voie fluviale, alors que pour Tambacounda, sa situation proche de pays comme le Mali et la Guinée présente des risques''.
''Quant aux régions de Kolda, de Sédhiou, ou encore de Ziguinchor, elles présentent toutes les mêmes caractéristiques que celles de Tambacounda. Ce sont toutes des régions frontalières à des pays à risques où les gens circulent’’, a-t-il ajouté.
Ouvert mardi à Kaolack, l’atelier de formation des agents d’hygiène sur la gestion des centres de traitement et de prise en charge de la maladie à virus Ebola, se poursuit jusqu’à jeudi.
''Cet atelier de formation vient en appoint à l’identification des sites des centres’’, a expliqué M. Bâ, par ailleurs, en charge de la conduite de la formation des hygiénistes et chef de la brigade régionale d’hygiène de Dakar.
Selon lui, cet atelier entre dans la préparation du Sénégal à faire face à une éventuelle épidémie. ''La maladie est encore aux portes de nos frontières. Il s’agit donc, pour le Sénégal, de se préparer pour faire face à cette éventualité’’, a-t-il précisé.
''La circulation des personnes entre les pays favorise la transmission de cette maladie. Une situation qui fait que le Sénégal est potentiellement accessible à cette maladie. Donc, il est bon de se préparer'', a-t-il estimé.
Durant ces trois jours, a-t-il indiqué, il sera question de former les agents d’hygiène des six centres de traitement retenus sur la prise en charge correcte de ces centres, sur les procédés de décontamination, sur la protection du personnel qui doit officier dans ces centres.
L'objectif est de se pencher ''sur les précautions sanitaires à suivre aussi bien par le personnels que les patients sur place'', a-t-il résumé.
''Il s’agit aujourd’hui d’aller dans une disposition de prise en charge des cas suspects après identification des sites les plus appropriés pour abriter ces centres'', dit Rassoul Bâ.
APS