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Quelques jours aprés sa mort, Grégoire Darr divise les communautés musulmane et chrétienne. Toutes les deux veulent l'enterrer dans leur cimetiére.
La polémique continue, autour de la dépouille mortelle de Grégoire Sarr, un chrétien converti à l’islam avant sa mort. Malgré la décision du procureur de la République de confier à sa famille chrétienne le soin de procéder à son enterrement, la communauté musulmane de Keur Massar n’a pas désarmé.
Ses membres se sont présentés hier à l’hôpital de Fann, pour s’opposer à la levée de corps. Pour ces fervents musulmans de Keur Massar, Grégoire Sarr s’est converti à l’islam avant sa mort pour devenir Demba Sarr. C’est donc conformément aux préceptes et rites de la religion musulmane qu’il doit être enterré. Ils ont assiégé l’hôpital, obligeant la police à intervenir pour les disperser. La famille du défunt avait déjà préparé une caisse d’une valeur de 450.000 francs et un costume à 50.000 francs. Mais finalement, la levée du corps qui devait avoir lieu a été ajournée. Le corps du défunt se trouve présentement à la morgue de l’hôpital de Fann, attendant un ciel plus clément.
La polémique continue, autour de la dépouille mortelle de Grégoire Sarr, un chrétien converti à l’islam avant sa mort. Malgré la décision du procureur de la République de confier à sa famille chrétienne le soin de procéder à son enterrement, la communauté musulmane de Keur Massar n’a pas désarmé.
Ses membres se sont présentés hier à l’hôpital de Fann, pour s’opposer à la levée de corps. Pour ces fervents musulmans de Keur Massar, Grégoire Sarr s’est converti à l’islam avant sa mort pour devenir Demba Sarr. C’est donc conformément aux préceptes et rites de la religion musulmane qu’il doit être enterré. Ils ont assiégé l’hôpital, obligeant la police à intervenir pour les disperser. La famille du défunt avait déjà préparé une caisse d’une valeur de 450.000 francs et un costume à 50.000 francs. Mais finalement, la levée du corps qui devait avoir lieu a été ajournée. Le corps du défunt se trouve présentement à la morgue de l’hôpital de Fann, attendant un ciel plus clément.
