A la bourse des valeurs, la Mairie de Saint-Louis de Saint-Louis est bien cotée ! Voilà qui déchaîne des passions dont les auteurs, j’allais dire les victimes, sont enivrés par le désir mal contenu de se positionner sur l’échiquier politique. Ah 2014 !
Se cachant derrière des seconds couteaux peu tranchants, certains « ndar ndar » se sont saisis de la commémoration des 140 ans de la ville de Saint-Louis comme prétexte pour s’adonner à leur jeu favori qui consiste à travestir la réalité dans le but de manipuler les consciences. Il ne sert à rien de se recouvrir d’une moustiquaire au grand jour et croire n’être vu de personne.
Il est loisible à tout citoyen d’afficher ses ambitions, mais de là à vouloir faire abstraction d’une réalité aussi évidente qu’un nez sur un visage, il faut être animé de mauvaise foi !
Le criticisme est malsain et ne fait que baliser les conditions d’un débat stérile. Aussi, faudrait-il s’arrêter pour entreprendre une introspection qui sape les fondements subjectifs et par endroit mesquins qui ont présidé aux réactions notées ces derniers temps au niveau de la presse.
A présent que les rideaux sont tombés sur la célébration des 140 ans de la Commune, avec du recul, on ne peut que se désoler du caractère passéiste et malheureux de ces discours qui ont été avancés moins par des citoyens à l’esprit constructif que par des adversaires mal inspirés de Cheikh Bamba DIEYE. Un tel constat nous ramène à notre conviction que tout le monde ne peut pas suivre le rythme cadencé de la marche de la Commune vers le progrès sous la houlette du jeune Maire.
Notre préoccupation aurait été de mettre en exergue le travail formidable accompli par l’actuelle équipe municipale que nous aurions commencé par décrire la situation moribonde dans laquelle nous avons trouvé la municipalité en mars 2009. Qu’à cela ne tienne, d’autres occasions s’offriront à des voix plus autorisées pour le faire.
Notre perspective ici est culturelle et corrobore l’objectif du Maire de la Commune de faire de la vieille ville « la capitale africaine de la culture en 2015 ». Toutes les manifestations culturelles qui ont lieu dans la Commune procèdent de ce processus là et les Doomu Ndar ne s’y trompent pas, eux qui ont répondu massivement à chaque fois que de besoin.
On se saisit malhonnêtement et maladroitement de la soirée de gala organisée à Dakar pour monter sur ses grands chevaux et tenter de jeter l’opprobe sur le Maire Cheikh Bamba DIEYE, lequel heureusement n’a qu’une seule protection : sa vision généreuse pour Saint-Louis à l’orée 2030.
Alors peine perdue ! Car là aussi, les doomu ndar, nombreux à Dakar, ont répondu massivement à l’appel du Maire et de leurs concitoyens au point que la cérémonie s’est déroulée à guichet fermé. Mieux encore, s’il fallait aller chercher des doomu ndar même hors du pays, ou le ferait ! L’effort à faire ici étant de sortir de nos petites têtes, trop étroites, pour nous épanouir dans des espaces beaucoup plus vastes et à même de permettre une expression féconde des idées généreuses de l’Edile de la ville.
S’il est vrai que tous les acteurs impliqués dans l’organisation des ces activités culturelles doivent humblement accepter qu’il y’a eu.
Un déficit de communication, cela n’autorise personne à aller chercher des arguments un peu trop tirés par les cheveux pour déverser sa bile sur la Mairie.
Pourtant un seul regard sur le Magal de Touba dont la commémoration de la 118e édition a connu ses moments forts à Dakar dans le cadre d’un symposium digne de ce nom et ironie du sort, dans le même hôtel, aurait suffi à ces détracteurs pour être plus circonspects. On pourrait multiplier les exemples mais cela n’en vaut pas la peine tant il est vrai que « qui veut noyer son chien, l’accuse de rage ! ».
La Commune de Saint-Louis peut s’enorgueillir d’avoir un Maire qui ne se soucie que de la sauvegarde des intérêts de ses concitoyens. Pour votre information, les 140 ans de Saint-Louis ont été célébrés sans que les ressources de la Commune ne soient mises à contribution, n’est ce pas cela l’ingéniosité et une raison de plus d’avoir été à Dakar.
N’eussent été les motivations personnelles, certaines critiques et observations passeraient inaperçues, mais il y’a des idées qui dévoilent la personnalité de leurs auteurs et laissent apparaître les intentions cachées dans l’arrière mental de ceux-là. A titre d’exemple, que signifie cette liste de candidats à la nomination qui tient sur une page et demie alors qu’on ne conteste nulle part le mérite de ceux de nos concitoyens qui ont été honorés ? C’est à n’y rien comprendre ! « Ndar xëyul Sotti » ! D’autres occasions se présenteront à nous et des Doomu Ndar, toujours méritants, seront encore honorés.
En vérité, la critique facile ne mène à rien. D’ailleurs nous sommes tentés de rappeler à l’auteur de cette longue liste que lui aussi en oublie certainement. La preuve, il ne s’est pas cité ! (une lacune de l’esprit peut être, un « oubli » qui en dit long sur l’auteur des énumérations, en tous cas un bon sujet pour les psychanalystes).
Rien n’y fait, le dernier train de Gunhill laissera toujours derrière des retardataires, adeptes de la 25e heure, hélas !
Le contexte socio-politique, pourtant, devrait consacrer un nouvel état d’esprit qui fait le départ entre ceux qu’on peut appeler les « anciens types de doomu ndar » et ceux qui ont enjambé la ligne de démarcation pour entrer dans l’ère « du nouveau type de doomu ndar ». Ces derniers regardent vers 2030 avec comme viatique la vision généreuse et pertinente du Maire dont l’objectif majeur est de faire de la cité magique une grande métropole, capable de rivaliser avec les plus grandes capitales du monde.
Vieux GAYE
Chargé de la Communication
Mairie
Se cachant derrière des seconds couteaux peu tranchants, certains « ndar ndar » se sont saisis de la commémoration des 140 ans de la ville de Saint-Louis comme prétexte pour s’adonner à leur jeu favori qui consiste à travestir la réalité dans le but de manipuler les consciences. Il ne sert à rien de se recouvrir d’une moustiquaire au grand jour et croire n’être vu de personne.
Il est loisible à tout citoyen d’afficher ses ambitions, mais de là à vouloir faire abstraction d’une réalité aussi évidente qu’un nez sur un visage, il faut être animé de mauvaise foi !
Le criticisme est malsain et ne fait que baliser les conditions d’un débat stérile. Aussi, faudrait-il s’arrêter pour entreprendre une introspection qui sape les fondements subjectifs et par endroit mesquins qui ont présidé aux réactions notées ces derniers temps au niveau de la presse.
A présent que les rideaux sont tombés sur la célébration des 140 ans de la Commune, avec du recul, on ne peut que se désoler du caractère passéiste et malheureux de ces discours qui ont été avancés moins par des citoyens à l’esprit constructif que par des adversaires mal inspirés de Cheikh Bamba DIEYE. Un tel constat nous ramène à notre conviction que tout le monde ne peut pas suivre le rythme cadencé de la marche de la Commune vers le progrès sous la houlette du jeune Maire.
Notre préoccupation aurait été de mettre en exergue le travail formidable accompli par l’actuelle équipe municipale que nous aurions commencé par décrire la situation moribonde dans laquelle nous avons trouvé la municipalité en mars 2009. Qu’à cela ne tienne, d’autres occasions s’offriront à des voix plus autorisées pour le faire.
Notre perspective ici est culturelle et corrobore l’objectif du Maire de la Commune de faire de la vieille ville « la capitale africaine de la culture en 2015 ». Toutes les manifestations culturelles qui ont lieu dans la Commune procèdent de ce processus là et les Doomu Ndar ne s’y trompent pas, eux qui ont répondu massivement à chaque fois que de besoin.
On se saisit malhonnêtement et maladroitement de la soirée de gala organisée à Dakar pour monter sur ses grands chevaux et tenter de jeter l’opprobe sur le Maire Cheikh Bamba DIEYE, lequel heureusement n’a qu’une seule protection : sa vision généreuse pour Saint-Louis à l’orée 2030.
Alors peine perdue ! Car là aussi, les doomu ndar, nombreux à Dakar, ont répondu massivement à l’appel du Maire et de leurs concitoyens au point que la cérémonie s’est déroulée à guichet fermé. Mieux encore, s’il fallait aller chercher des doomu ndar même hors du pays, ou le ferait ! L’effort à faire ici étant de sortir de nos petites têtes, trop étroites, pour nous épanouir dans des espaces beaucoup plus vastes et à même de permettre une expression féconde des idées généreuses de l’Edile de la ville.
S’il est vrai que tous les acteurs impliqués dans l’organisation des ces activités culturelles doivent humblement accepter qu’il y’a eu.
Un déficit de communication, cela n’autorise personne à aller chercher des arguments un peu trop tirés par les cheveux pour déverser sa bile sur la Mairie.
Pourtant un seul regard sur le Magal de Touba dont la commémoration de la 118e édition a connu ses moments forts à Dakar dans le cadre d’un symposium digne de ce nom et ironie du sort, dans le même hôtel, aurait suffi à ces détracteurs pour être plus circonspects. On pourrait multiplier les exemples mais cela n’en vaut pas la peine tant il est vrai que « qui veut noyer son chien, l’accuse de rage ! ».
La Commune de Saint-Louis peut s’enorgueillir d’avoir un Maire qui ne se soucie que de la sauvegarde des intérêts de ses concitoyens. Pour votre information, les 140 ans de Saint-Louis ont été célébrés sans que les ressources de la Commune ne soient mises à contribution, n’est ce pas cela l’ingéniosité et une raison de plus d’avoir été à Dakar.
N’eussent été les motivations personnelles, certaines critiques et observations passeraient inaperçues, mais il y’a des idées qui dévoilent la personnalité de leurs auteurs et laissent apparaître les intentions cachées dans l’arrière mental de ceux-là. A titre d’exemple, que signifie cette liste de candidats à la nomination qui tient sur une page et demie alors qu’on ne conteste nulle part le mérite de ceux de nos concitoyens qui ont été honorés ? C’est à n’y rien comprendre ! « Ndar xëyul Sotti » ! D’autres occasions se présenteront à nous et des Doomu Ndar, toujours méritants, seront encore honorés.
En vérité, la critique facile ne mène à rien. D’ailleurs nous sommes tentés de rappeler à l’auteur de cette longue liste que lui aussi en oublie certainement. La preuve, il ne s’est pas cité ! (une lacune de l’esprit peut être, un « oubli » qui en dit long sur l’auteur des énumérations, en tous cas un bon sujet pour les psychanalystes).
Rien n’y fait, le dernier train de Gunhill laissera toujours derrière des retardataires, adeptes de la 25e heure, hélas !
Le contexte socio-politique, pourtant, devrait consacrer un nouvel état d’esprit qui fait le départ entre ceux qu’on peut appeler les « anciens types de doomu ndar » et ceux qui ont enjambé la ligne de démarcation pour entrer dans l’ère « du nouveau type de doomu ndar ». Ces derniers regardent vers 2030 avec comme viatique la vision généreuse et pertinente du Maire dont l’objectif majeur est de faire de la cité magique une grande métropole, capable de rivaliser avec les plus grandes capitales du monde.
Vieux GAYE
Chargé de la Communication
Mairie