Du jamais vu au quartier Bango, théâtre d'un ignoble. Quelque part, dans ce quartier où le vol de bétail, notamment des chèvres, est devenu banal à l’aune de la récurrence des faits, des individus mal intentionnés ont été surpris par un jeune homme à la recherche de son troupeau.
Sur place, un des malfrats, pris de panique, perd les pédales. Le quidam qui était entrain de rassembler les chèvres agonisantes a pris la clé des champs pour rejoindre son complice au volant d’une voiture L 200 de couleur blanche, selon le témoin. Aujourd’hui, pour éviter les course_poursuites et ne pas réveiller les soupçons du voisinage, d’habitude alerté par les cris des bêtes, les voleurs ont changé de modus operandi. On neutralise avec du poison avant d’égorger.
Seulement, de l’avis de spécialistes et de bon nombre d’observateurs, une telle option est lourde de danger pour les populations qui risquent, désormais, d’acheter de la viande contaminée, impropre à la consommation.
Des questions taraudent, cependant, l’esprit des uns et des autres dans le quartier Bango : ces voleurs sont_ils à leur coup d’essai ? Ont_ils, déjà, réussi à introduire de la viande empoisonnée sur le marché ? Quel bulletin de santé présentent, aujourd’hui, les saintlouisiens qui auraient consommé cette viande ? Sont_ils passés de vie à trépas… comme les quatre chèvres ?
Miroironeline.com
Sur place, un des malfrats, pris de panique, perd les pédales. Le quidam qui était entrain de rassembler les chèvres agonisantes a pris la clé des champs pour rejoindre son complice au volant d’une voiture L 200 de couleur blanche, selon le témoin. Aujourd’hui, pour éviter les course_poursuites et ne pas réveiller les soupçons du voisinage, d’habitude alerté par les cris des bêtes, les voleurs ont changé de modus operandi. On neutralise avec du poison avant d’égorger.
Seulement, de l’avis de spécialistes et de bon nombre d’observateurs, une telle option est lourde de danger pour les populations qui risquent, désormais, d’acheter de la viande contaminée, impropre à la consommation.
Des questions taraudent, cependant, l’esprit des uns et des autres dans le quartier Bango : ces voleurs sont_ils à leur coup d’essai ? Ont_ils, déjà, réussi à introduire de la viande empoisonnée sur le marché ? Quel bulletin de santé présentent, aujourd’hui, les saintlouisiens qui auraient consommé cette viande ? Sont_ils passés de vie à trépas… comme les quatre chèvres ?
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