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Le musicien américain Cyrus Chestnut s’est dit séduit par la ville de Saint-Louis dont il découvre pour la première fois le festival de jazz, à l’occasion de la 22e édition duquel il se produira vendredi à la place Faidherbe.
‘’Je suis très content de mon séjour à Saint-Louis, que je connaissais ni de par son festival ni en tant que ville, sinon aux Etats-Unis où on a une ville qui porte le même nom’’, a dit Chesnut, auteur compositeur et pianiste.
Il dit avoir eu des sentiments ‘’extraordinaires’’ au contact du Sénégal qui a, selon lui, beaucoup de similitudes avec sa communauté où la chaleur humaine n’est pas un vain mot. ‘’Ici les gens sont chaleureux et accueillants’’, relève le leader du Chestnut Trio. Il avoue ‘’n’avoir nourri aucune attente par rapport à son accueil, sinon la volonté de découvrir une autre culture’’.
Sur la route de Saint-Louis, le musicien américain a fait escale à Louga où il a visité le musée des percussions. Dans la capitale du Ndiambour, il s’est réjoui des échanges avec les percussionnistes, soulignant avoir eu des ‘’sensations de déjà vu ou entendu’’ en les regardant jouer.
Il a indiqué qu’il a été impressionné par les messages que véhiculaient ces batteurs, après avoir reçu des explications concernant leur sens. Selon lui, chaque rythme correspond à un message bien déterminé destiné aux populations qui étaient informées de cette manière par rapport à un décès ou à un événement bien particulier.
Outre cet échange avec les percussionnistes de Louga, Chestnut a eu à participer à des masters class avec de jeunes musiciens locaux à Dakar mais également à Saint-Louis. Des jeunes dont il loue la capacité d’adaptation.
Il a promis un beau spectacle au public qui viendra le voir sur la scène du festival où il compte étaler toute sa classe.
APS
‘’Je suis très content de mon séjour à Saint-Louis, que je connaissais ni de par son festival ni en tant que ville, sinon aux Etats-Unis où on a une ville qui porte le même nom’’, a dit Chesnut, auteur compositeur et pianiste.
Il dit avoir eu des sentiments ‘’extraordinaires’’ au contact du Sénégal qui a, selon lui, beaucoup de similitudes avec sa communauté où la chaleur humaine n’est pas un vain mot. ‘’Ici les gens sont chaleureux et accueillants’’, relève le leader du Chestnut Trio. Il avoue ‘’n’avoir nourri aucune attente par rapport à son accueil, sinon la volonté de découvrir une autre culture’’.
Sur la route de Saint-Louis, le musicien américain a fait escale à Louga où il a visité le musée des percussions. Dans la capitale du Ndiambour, il s’est réjoui des échanges avec les percussionnistes, soulignant avoir eu des ‘’sensations de déjà vu ou entendu’’ en les regardant jouer.
Il a indiqué qu’il a été impressionné par les messages que véhiculaient ces batteurs, après avoir reçu des explications concernant leur sens. Selon lui, chaque rythme correspond à un message bien déterminé destiné aux populations qui étaient informées de cette manière par rapport à un décès ou à un événement bien particulier.
Outre cet échange avec les percussionnistes de Louga, Chestnut a eu à participer à des masters class avec de jeunes musiciens locaux à Dakar mais également à Saint-Louis. Des jeunes dont il loue la capacité d’adaptation.
Il a promis un beau spectacle au public qui viendra le voir sur la scène du festival où il compte étaler toute sa classe.
APS
