L’association des pêcheurs artisanaux à la ligne (APALS) de Saint-Louis a déploré, samedi, « les malheureuses tournures des manifestations du 04 février », soldée par l’arrestation d’une trentaine de personnes. Exprimant leur soutien à leurs camarades détenus, ils ont invité à plus de concertation pour éviter des troubles futurs.
El Hadj Dousse FALL et ses collègues saluent les efforts consentis par le président Macky SALL pour l’octroi des licences de pêche et félicitent les avancées notées dans les accords de pêche entre le Sénégal et la Mauritanie. « Ils correspondant parfaitement aux traités internationaux », a indiqué Mamoussé NDIAYE à l’issue d’une réunion.
Toutefois, les membres d'APALS dénoncent ces nouveaux accords qui, disent-ils, "sont en déphasage avec les principes d’équité et d’égalité consacrés par les conventions et traités internationaux ratifiés par le Sénégal notamment ( la convention des Nations Unies sur le droit de la mer signé à Montégo Bay du 10 décembre 1982, la convention relative à la détermination des conditions minimales d’accès et d’exploitation des ressources halieutiques à l’intérieur des zones maritimes sous juridiction des Etats membres de la Commission Sous Régionale des Peche (CSRPS) adoptée
le 08 juin 2012 à Dakar, Sénégal et entrée en vigueur le 16 septembre 2012".
" Ils son inéquitables et discriminatoires", notent les pêcheurs. « Nous sommes les parents pauvres de la pêche et pourtant, nous sommes le seul type de pêche responsable compatible avec une exploitation durable des ressources halieutiques », ont-ils déploré en appelant à plus de considération de la part du Gouvernement.
" À défaut de licences, qu’il nous soit accordé l’affrètement pour que nos braves pêcheurs puissent travailler en toute sécurité et en toute quiétude dans les eaux mauritanienne", exigent les acteurs.
El Hadj Dousse FALL et ses collègues saluent les efforts consentis par le président Macky SALL pour l’octroi des licences de pêche et félicitent les avancées notées dans les accords de pêche entre le Sénégal et la Mauritanie. « Ils correspondant parfaitement aux traités internationaux », a indiqué Mamoussé NDIAYE à l’issue d’une réunion.
Toutefois, les membres d'APALS dénoncent ces nouveaux accords qui, disent-ils, "sont en déphasage avec les principes d’équité et d’égalité consacrés par les conventions et traités internationaux ratifiés par le Sénégal notamment ( la convention des Nations Unies sur le droit de la mer signé à Montégo Bay du 10 décembre 1982, la convention relative à la détermination des conditions minimales d’accès et d’exploitation des ressources halieutiques à l’intérieur des zones maritimes sous juridiction des Etats membres de la Commission Sous Régionale des Peche (CSRPS) adoptée
le 08 juin 2012 à Dakar, Sénégal et entrée en vigueur le 16 septembre 2012".
" Ils son inéquitables et discriminatoires", notent les pêcheurs. « Nous sommes les parents pauvres de la pêche et pourtant, nous sommes le seul type de pêche responsable compatible avec une exploitation durable des ressources halieutiques », ont-ils déploré en appelant à plus de considération de la part du Gouvernement.
" À défaut de licences, qu’il nous soit accordé l’affrètement pour que nos braves pêcheurs puissent travailler en toute sécurité et en toute quiétude dans les eaux mauritanienne", exigent les acteurs.