La colère est à son paroxysme du côté des commerçants du marché NDAR, dépités notamment par la tenue des foires artisanales sur autorisation de Mairie.
Pour faire part de leur mécontentement, ils ont marché jusqu’à la porte de la Commune. Les commerçants fustigent la préférence accordée à leurs collègues des autres régions en renseignant que les foras mettent en péril leurs activités commerciales.
« C’est une claire volonté de nous enterrer vivants, mais nous ne l’accepterons pas », a crié El Hadj Lamine SÈNE, le président du regroupement des travailleurs du marché. « Nous ne voulons plus de la foire du Festival de jazz et ne refusons que celle commerciale domine l’artisanale. Nous ne voulons plus que ces rencontres commerciales se tiennent sur l’ile et sur la Langue de Barbarie. Nous demandons au maire de l’éloigner de la Commune », a-t-il ajouté.
Les commerçants exigent par ailleurs la rénovation « diligente » de trois hangars du marché non fonctionnels depuis plusieurs années. « Cette indisponibilité porte gravement préjudice », soutient M. SÈNE qui a remis un mémorandum à l’adjoint au maire, Lamine NDIAYE.
Ce dernier a tenu des engagements fermes de la municipalité visant à mettre fin à cette situation.
Pour faire part de leur mécontentement, ils ont marché jusqu’à la porte de la Commune. Les commerçants fustigent la préférence accordée à leurs collègues des autres régions en renseignant que les foras mettent en péril leurs activités commerciales.
« C’est une claire volonté de nous enterrer vivants, mais nous ne l’accepterons pas », a crié El Hadj Lamine SÈNE, le président du regroupement des travailleurs du marché. « Nous ne voulons plus de la foire du Festival de jazz et ne refusons que celle commerciale domine l’artisanale. Nous ne voulons plus que ces rencontres commerciales se tiennent sur l’ile et sur la Langue de Barbarie. Nous demandons au maire de l’éloigner de la Commune », a-t-il ajouté.
Les commerçants exigent par ailleurs la rénovation « diligente » de trois hangars du marché non fonctionnels depuis plusieurs années. « Cette indisponibilité porte gravement préjudice », soutient M. SÈNE qui a remis un mémorandum à l’adjoint au maire, Lamine NDIAYE.
Ce dernier a tenu des engagements fermes de la municipalité visant à mettre fin à cette situation.
NDARINFO.COM