Des représentants des pays membres de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) se sont réunis lundi 15 juillet 2024 à Saly, dans l’ouest du Sénégal, pour réfléchir à la construction d’ouvrages de relèvement du niveau de ce cours d’eau.
Pour le directeur des infrastructures régionales de l’OMVS, « le but de cette rencontre est d’étudier les voies et moyens de construire des ouvrages [dans la vallée du fleuve Sénégal] en tenant compte de leur impact environnemental et social ».
Ahmed Ramdane Sylla qui prend part à un atelier consacré à une « étude de préfaisabilité » des ouvrages a renchéri qu’« il s’agira aussi de faire une évaluation du coût de ces ouvrages et un planning optimal de leur réalisation ». « Nous allons aussi disposer des termes de référence en vue de […] l’établissement des dossiers d’appels d’offres », a-t-il ajouté.
Si l’on se fie à Ahmed Ramdane Sylla, cet atelier permettra aux participants de procéder « le plus rapidement possible » au lancement des appels d’offres préalables à la construction des infrastructures hydrauliques en vue.
Certains ouvrages de l’OMVS, bien que datant des années 1980, sont toujours en bon état, parce que « leur maintenance s’effectue sans arrêt », a relevé le directeur des infrastructures régionales de l’OMVS, ajoutant que ces équipements « nous fournissent chaque année les résultats » nécessaires pour « l’essor économique de nos pays en matière d’agriculture et d’énergie électrique ».
Rappelons que l’OMVS, une organisation intergouvernementale de développement créée en 1972. Elle réunit la Guinée, le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.
Pour le directeur des infrastructures régionales de l’OMVS, « le but de cette rencontre est d’étudier les voies et moyens de construire des ouvrages [dans la vallée du fleuve Sénégal] en tenant compte de leur impact environnemental et social ».
Ahmed Ramdane Sylla qui prend part à un atelier consacré à une « étude de préfaisabilité » des ouvrages a renchéri qu’« il s’agira aussi de faire une évaluation du coût de ces ouvrages et un planning optimal de leur réalisation ». « Nous allons aussi disposer des termes de référence en vue de […] l’établissement des dossiers d’appels d’offres », a-t-il ajouté.
Si l’on se fie à Ahmed Ramdane Sylla, cet atelier permettra aux participants de procéder « le plus rapidement possible » au lancement des appels d’offres préalables à la construction des infrastructures hydrauliques en vue.
Certains ouvrages de l’OMVS, bien que datant des années 1980, sont toujours en bon état, parce que « leur maintenance s’effectue sans arrêt », a relevé le directeur des infrastructures régionales de l’OMVS, ajoutant que ces équipements « nous fournissent chaque année les résultats » nécessaires pour « l’essor économique de nos pays en matière d’agriculture et d’énergie électrique ».
Rappelons que l’OMVS, une organisation intergouvernementale de développement créée en 1972. Elle réunit la Guinée, le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.