Après leur mouvement d'humeur du mois de janvier, la section du syndicat des professionnels de l'information et de la communication (Synpics) de l'Agence de presse sénégalaise (Aps) est passée à la vitesse supérieure. Ces travailleurs ont entamé ce jeudi 06 septembre une grève de 96 heures renouvelable. Ils déplorent le non suivi des décisions prises par le président de la République il y a de cela sept mois.
En outre, ces agents fustigent la gestion catastrophique de la boîte qui jouissait auparavant d'une certaine notoriété dans l'espace médiatique africain.
Pour ces travailleurs de l'Aps, le management de cette structure publique est marqué par des licenciements abusifs, des conditions de travail très difficiles, et d'autres difficultés qu'ils se gardent d'énumérer. À en croire Bamba Kassé, responsable syndical de ladite structure, l'Aps constitue le parent pauvre des médias publics. " Sur un effectif d'une soixantaine d'agents, 44 ont été récemment remerciés à la période de la Tabaski. Nous n'avons pas d'Internet hormis ce que nous donne l'Adie ", s'est insurgé le responsable syndical du Synpics à l'Aps.
Déterminés à continuer le combat jusqu'au bout, ces professionnels de l'information et de la communication invitent les autorités à prendre des mesures transitoires afin de sortir ce service public d’information du gouffre.
DAKARACTU
En outre, ces agents fustigent la gestion catastrophique de la boîte qui jouissait auparavant d'une certaine notoriété dans l'espace médiatique africain.
Pour ces travailleurs de l'Aps, le management de cette structure publique est marqué par des licenciements abusifs, des conditions de travail très difficiles, et d'autres difficultés qu'ils se gardent d'énumérer. À en croire Bamba Kassé, responsable syndical de ladite structure, l'Aps constitue le parent pauvre des médias publics. " Sur un effectif d'une soixantaine d'agents, 44 ont été récemment remerciés à la période de la Tabaski. Nous n'avons pas d'Internet hormis ce que nous donne l'Adie ", s'est insurgé le responsable syndical du Synpics à l'Aps.
Déterminés à continuer le combat jusqu'au bout, ces professionnels de l'information et de la communication invitent les autorités à prendre des mesures transitoires afin de sortir ce service public d’information du gouffre.
DAKARACTU