"La Communauté Wolof dans son ensemble vit une situation de marginalisation qui s’est traduite par son absence quasi-totale, de toutes les instances de représentation nationale, hormis quelques rares exceptions, qui, au demeurant ne modifient en rien cet état de fait, et ce, à la différence des autres communautés", lit-on dans la lettre.
Pour le collectif, ce tableau se lit aux différents niveaux, Exécutif, Législatif, Judiciaire, Administration, présidence des conseils d’administration des entreprises publiques, représentations diplomatiques, etc.
Les Wolof sont "la grande absente de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) lors de son installation et de la CNDH (Commission Nationale des Droits de L’Homme) récemment renouvelée, en dépit de l’exigence légale du reflet des diverses sensibilités".
Selon la lettre,"malgré les efforts consentis pour la cohésion nationale, il est permis de s’interroger sur les raisons profondes de sa marginalisation persistante. Cette situation est ressentie profondément comme une injustice à l’endroit de cette communauté pourtant réputée pour son attachement aux idéaux de paix, de patriotisme, d’honnêteté et de labeur".
"L’exclusion de cette communauté, mesure consciente ou inconsciente, déjà politiquement incorrecte, ne fait qu’accentuer le sentiment déjà exacerbé de frustration et mérite de la part du pouvoir la prise de correctifs idoines pour ne laisser aucune frange de la population".
Source:Alakhbar
Pour le collectif, ce tableau se lit aux différents niveaux, Exécutif, Législatif, Judiciaire, Administration, présidence des conseils d’administration des entreprises publiques, représentations diplomatiques, etc.
Les Wolof sont "la grande absente de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) lors de son installation et de la CNDH (Commission Nationale des Droits de L’Homme) récemment renouvelée, en dépit de l’exigence légale du reflet des diverses sensibilités".
Selon la lettre,"malgré les efforts consentis pour la cohésion nationale, il est permis de s’interroger sur les raisons profondes de sa marginalisation persistante. Cette situation est ressentie profondément comme une injustice à l’endroit de cette communauté pourtant réputée pour son attachement aux idéaux de paix, de patriotisme, d’honnêteté et de labeur".
"L’exclusion de cette communauté, mesure consciente ou inconsciente, déjà politiquement incorrecte, ne fait qu’accentuer le sentiment déjà exacerbé de frustration et mérite de la part du pouvoir la prise de correctifs idoines pour ne laisser aucune frange de la population".
Source:Alakhbar