La question de la dépénalisation des délits de presse n’est plus un facteur de blocage pour l’adoption du nouveau Code de la presse. Les acteurs, réunis à Saly depuis hier, jeudi 22 septembre, sous l’égide du ministère de la Culture et de la Communication, discutent de la nouvelle mouture du projet, qui est débarrassé de ce point qui faisait que les députés ont toujours refusé d’adopter le texte.
Une avancée saluée par les professionnels des médias ainsi que les parlementaires et membres du gouvernement présents à Saly. Cependant, les représentants des organisations de journalistes regrettent que la nouvelle mouture ne leur ait pas été remise avant le séminaire.
« Nous ne pouvons pas arriver dans une salle et qu’on nous donne un texte pour qu’on l’adopte. Ce n’est pas possible ! a tonné Mamadou Ibra Kane, le président du Cdeps. Nous avons des experts, des juristes. Donc, il nous faut étudier la proposition du gouvernement pour y apporter une réponse. »
La rencontre se poursuit jusqu’à demain, samedi. Le ministre de la Culture et de la Communication, Mbagnick Ndiaye, qui préside les travaux, espère un consensus autour du projet.
(Source Enquête)
Une avancée saluée par les professionnels des médias ainsi que les parlementaires et membres du gouvernement présents à Saly. Cependant, les représentants des organisations de journalistes regrettent que la nouvelle mouture ne leur ait pas été remise avant le séminaire.
« Nous ne pouvons pas arriver dans une salle et qu’on nous donne un texte pour qu’on l’adopte. Ce n’est pas possible ! a tonné Mamadou Ibra Kane, le président du Cdeps. Nous avons des experts, des juristes. Donc, il nous faut étudier la proposition du gouvernement pour y apporter une réponse. »
La rencontre se poursuit jusqu’à demain, samedi. Le ministre de la Culture et de la Communication, Mbagnick Ndiaye, qui préside les travaux, espère un consensus autour du projet.
(Source Enquête)