Dans le cadre des activités qu'il déroule pour le suivi des politiques et le contrôle citoyen qui font partie des domaines d'action du mouvement alter mondialiste, le Forum Social sénégalais dénonce une mauvaise gestion de la Sen'Eau.
"La logique veut que toute action de gouvernance soit évaluée, surtout dans un secteur aussi stratégique que celui de l'eau qui fait la vie. Tout le monde se rappelle que le ministère de l'Eau avait toujours dit que le prix de l'eau ne va pas augmenter et que la disponibilité de ce bien allait augmenter aussi bien en quantité qu'en qualité. L'année dernière, nous avions rencontré la Direction de Sen'Eau qui a bien voulu nous présenter le travail accompli, et dans lequel nous pouvons constater des progrès, même si, pour nous des questions demeurent. Aujourd’hui, malgré les efforts fournis, il est fréquent d'entendre les populations sénégalaises se plaindre de la cherté des factures, mais aussi de la fréquence des coupures d'eau dans certaines zones de la ville de Dakar, malgré la mise en fonction du KMS3. Qu'est-ce qui explique toutes ces récriminations des populations ? Il y a en tous cas une série de questions, de plaintes sur les factures et les manques d'eau qui persistent encore", a souligné Mignane Diouf, porte-parole du jour, lors d'une rencontre avec la presse ce samedi.
Le membre du Forum Social Citoyen de révéler: "à l'intérieur de la société, il nous a été donné de constater des mouvements d'humeur, et même des marches organisées par le personnel qui se fait entendre dans des revendications pour de meilleures conditions de travail. Par ailleurs, dans la répartition des actions, il était prévu qu'un certain pourcentage d'actions (11%) serait attribué au personnel travailleur"
Selon Mignane Diouf et ses camarades, "des pertes cumulée à hauteur de 17 milliards, des factures très salées pour les consommateurs, un personnel qui ne siège toujours pas au CA (Conseil d'Administration), et donc qui ne participe effectivement pas à la prise des décisions pour la société; des délégués de personnels harcelés ou convoqués à la gendarmerie, des demandes de licenciements déposées à l’inspection du travail, des agents encore sous régimes de prestataires malgré le temps passé dans la boite, autant de questions qui méritent des réponses".
Ils se sont alors interrogés sur cette gestion de la Sen'Eau de la distribution de l'eau dans les zones urbaines du Sénégal. "Et en analysant toutes ces interrogations, notamment la question des déficits dans le chiffre d'affaire, saurait-on dire qu'une hausse du prix de vente du mètre cube peut être envisagée pour résorber les Dettes ? Qu'est ce qui justifie la continuité des coupures d'eau dans certaines zones, malgré la mise en service du KMS3, dont on nous disait qu'elle réglait définitivement le déficit d'eau à Dakar ? Qu'est ce qui explique la cherté des factures décriée par tout le monde ? Est - ce un problème de compteur, ou encore quoi ? Les pertes à coût de milliards oui sont annoncées sont -il réels ou est- ce une stratégie pour exiger de l’Etat, une augmentation du prix de l'eau ? ", s'est demandé le Forum Social Sénégalais qui réclame une enquête journalistique sur ces points.
"La logique veut que toute action de gouvernance soit évaluée, surtout dans un secteur aussi stratégique que celui de l'eau qui fait la vie. Tout le monde se rappelle que le ministère de l'Eau avait toujours dit que le prix de l'eau ne va pas augmenter et que la disponibilité de ce bien allait augmenter aussi bien en quantité qu'en qualité. L'année dernière, nous avions rencontré la Direction de Sen'Eau qui a bien voulu nous présenter le travail accompli, et dans lequel nous pouvons constater des progrès, même si, pour nous des questions demeurent. Aujourd’hui, malgré les efforts fournis, il est fréquent d'entendre les populations sénégalaises se plaindre de la cherté des factures, mais aussi de la fréquence des coupures d'eau dans certaines zones de la ville de Dakar, malgré la mise en fonction du KMS3. Qu'est-ce qui explique toutes ces récriminations des populations ? Il y a en tous cas une série de questions, de plaintes sur les factures et les manques d'eau qui persistent encore", a souligné Mignane Diouf, porte-parole du jour, lors d'une rencontre avec la presse ce samedi.
Le membre du Forum Social Citoyen de révéler: "à l'intérieur de la société, il nous a été donné de constater des mouvements d'humeur, et même des marches organisées par le personnel qui se fait entendre dans des revendications pour de meilleures conditions de travail. Par ailleurs, dans la répartition des actions, il était prévu qu'un certain pourcentage d'actions (11%) serait attribué au personnel travailleur"
Selon Mignane Diouf et ses camarades, "des pertes cumulée à hauteur de 17 milliards, des factures très salées pour les consommateurs, un personnel qui ne siège toujours pas au CA (Conseil d'Administration), et donc qui ne participe effectivement pas à la prise des décisions pour la société; des délégués de personnels harcelés ou convoqués à la gendarmerie, des demandes de licenciements déposées à l’inspection du travail, des agents encore sous régimes de prestataires malgré le temps passé dans la boite, autant de questions qui méritent des réponses".
Ils se sont alors interrogés sur cette gestion de la Sen'Eau de la distribution de l'eau dans les zones urbaines du Sénégal. "Et en analysant toutes ces interrogations, notamment la question des déficits dans le chiffre d'affaire, saurait-on dire qu'une hausse du prix de vente du mètre cube peut être envisagée pour résorber les Dettes ? Qu'est ce qui justifie la continuité des coupures d'eau dans certaines zones, malgré la mise en service du KMS3, dont on nous disait qu'elle réglait définitivement le déficit d'eau à Dakar ? Qu'est ce qui explique la cherté des factures décriée par tout le monde ? Est - ce un problème de compteur, ou encore quoi ? Les pertes à coût de milliards oui sont annoncées sont -il réels ou est- ce une stratégie pour exiger de l’Etat, une augmentation du prix de l'eau ? ", s'est demandé le Forum Social Sénégalais qui réclame une enquête journalistique sur ces points.