Les Etats africains ont saisi le Sommet sur le climat, qui se tient présentement au siège des Nations unies, pour annoncer que l’Agence spécialisée de l’Union africaine (l’African risk capacity : Arc) a mis en place un mécanisme de financement estimé à plusieurs milliards de dollars d’ici à 2050. Ceci, pour lutter contre les effets du changement climatique.
Pour tirer profit du capital disponible sur l’adaptation aux changements climatiques, les Etats africains ont annoncé le programme d’équipements climatiques extrêmes (Xcf) piloté par l’African risk capacity (Capacité africaine de gestion des risques). Un mécanisme de financement étendu sur plusieurs années et qui prévient les catastrophes liées aux changements climatiques, informe un communiqué. L’Arc appelle à la mise à disposition de ressources financières au profit des pays africains afin d’aider leurs investissements d’adaptation au climat lors de catastrophes (sécheresse, canicule, inondations ou cyclones). Les experts estiment que l’Afrique a besoin d’investir entre 10 et 20 milliards de dollars par an d’ici à 2050 pour se préparer aux 2°C de réchauffement climatique de la planète, note le communiqué.
Les pays participants seront ainsi choisis selon des critères qui incluent leur engagement actuel avec l’Arc dans le management des risques climatiques. Aussi, leurs politiques d’investissements à l’adaptation aux changements climatiques mises en place seront tenues en compte, précise le texte. L’Arc a été établie en tant qu’agence spécialisée de l’Union africaine pour aider les Etats membres à améliorer leurs capacités à se préparer et à répondre aux évènements climatiques extrêmes et aux catastrophes naturelles.
LE SOLEIL
Pour tirer profit du capital disponible sur l’adaptation aux changements climatiques, les Etats africains ont annoncé le programme d’équipements climatiques extrêmes (Xcf) piloté par l’African risk capacity (Capacité africaine de gestion des risques). Un mécanisme de financement étendu sur plusieurs années et qui prévient les catastrophes liées aux changements climatiques, informe un communiqué. L’Arc appelle à la mise à disposition de ressources financières au profit des pays africains afin d’aider leurs investissements d’adaptation au climat lors de catastrophes (sécheresse, canicule, inondations ou cyclones). Les experts estiment que l’Afrique a besoin d’investir entre 10 et 20 milliards de dollars par an d’ici à 2050 pour se préparer aux 2°C de réchauffement climatique de la planète, note le communiqué.
Les pays participants seront ainsi choisis selon des critères qui incluent leur engagement actuel avec l’Arc dans le management des risques climatiques. Aussi, leurs politiques d’investissements à l’adaptation aux changements climatiques mises en place seront tenues en compte, précise le texte. L’Arc a été établie en tant qu’agence spécialisée de l’Union africaine pour aider les Etats membres à améliorer leurs capacités à se préparer et à répondre aux évènements climatiques extrêmes et aux catastrophes naturelles.
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