Le mardi 13 décembre, Sidy TALL, 32 ans, commerçant et « Modou Modou » en Italie, s’est présenté à 7 heures du matin, au bureau du commissaire central de Saint-Louis pour se plaindre du cambriolage de son chantier à Ngallèle, un bâtiment R+1. Au cours de la forfaiture perpétrée dans la nuit du 12 au 13 décembre, deux portes en bois rouges un stock de carreaux ont été dérobés.
Après avoir écouté sa mésaventure, le Commissaire El Hadj Bécaye DIARRA a envoyé une équipe pour constater les faits. Les enquêtes ont ainsi débuté et les éléments civils du commissariat ont lancé des patrouilles dans la ville.
Le charretier de Ndioloffène et les portes en bois
À 13 heures, les éléments tombent sur un charretier à Cité Niakh. Sur l’attelage (de Djiby, habitant à Ndiolofène) qui allait se rendre sur la langue de barbarie, deux portes portant les mêmes caractéristiques que celles déclarées par le « modou-modou ».
Interpellé puis conduit à la police, l’homme indique que les biens lui ont été remis par un gendarme à la retraite qui lui a demandé de les acheminer à Ndar toute. La suite des enquêtes a permis de retrouver l’ancien gendarme en question.
Ce dernier a confirmé avoir sollicité les services du charretier. Il donne ensuite aux limiers des informations capitales qui vont permettre aux hommes de loi de repérer les cambrioleurs.
Deux maçons cambrioleurs
Après une descente chez l’ancien gendarme, âgé de 75 ans, les carreaux ont été retrouvés. Le même jour, les deux cambrioleurs M. DIOME 35 ans M.FAYE, des maçons habitent à Ngallèle, ont été arrêtés. Leur receleur qui avait acheté le butin avec un prix dérisoire, a été mis aux arrêts.
Les portes et les carreaux sont remis au « modou-modou », heureux d’être remis en possession de ces biens avant la fin de la journée de sa déposition.
NDARINFO.COM
Après avoir écouté sa mésaventure, le Commissaire El Hadj Bécaye DIARRA a envoyé une équipe pour constater les faits. Les enquêtes ont ainsi débuté et les éléments civils du commissariat ont lancé des patrouilles dans la ville.
Le charretier de Ndioloffène et les portes en bois
À 13 heures, les éléments tombent sur un charretier à Cité Niakh. Sur l’attelage (de Djiby, habitant à Ndiolofène) qui allait se rendre sur la langue de barbarie, deux portes portant les mêmes caractéristiques que celles déclarées par le « modou-modou ».
Interpellé puis conduit à la police, l’homme indique que les biens lui ont été remis par un gendarme à la retraite qui lui a demandé de les acheminer à Ndar toute. La suite des enquêtes a permis de retrouver l’ancien gendarme en question.
Ce dernier a confirmé avoir sollicité les services du charretier. Il donne ensuite aux limiers des informations capitales qui vont permettre aux hommes de loi de repérer les cambrioleurs.
Deux maçons cambrioleurs
Après une descente chez l’ancien gendarme, âgé de 75 ans, les carreaux ont été retrouvés. Le même jour, les deux cambrioleurs M. DIOME 35 ans M.FAYE, des maçons habitent à Ngallèle, ont été arrêtés. Leur receleur qui avait acheté le butin avec un prix dérisoire, a été mis aux arrêts.
Les portes et les carreaux sont remis au « modou-modou », heureux d’être remis en possession de ces biens avant la fin de la journée de sa déposition.
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