Le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé mardi un crédit de 15 millions de dollars (environ 7 milliards de FCFA) pour améliorer la crédibilité, la transparence, et la responsabilité dans la gestion et l’utilisation des ressources de l’Etat.
Selon Fily Sissoko, chargé du projet au niveau de la Banque mondiale, le projet d’appui aux reformes des finances publiques (PARFP) vise essentiellement pendant les quatre prochaine années « à renforcer la politique budgétaire et les perspectives pluriannuelles dans la planification mais aussi les mécanismes d’exécution budgétaire tout en amélioration de façon substantielle le contrôle externe et parlementaire ».
Le PARFP est une opération qui arrive à point nommé pour le Sénégal compte tenu de l’adoption par l’Union monétaire ouest-africaine (UEMOA) de six nouvelles directives visant à moderniser l’environnement juridique et institutionnel du système de gestion des finances publiques afin de parvenir à accroître la crédibilité du budget, rendre plus transparentes les opérations financières de l’Etat et également à renforcer les dispositifs de contrôle interne et externe sur l’exécution budgétaire.
Le projet appuiera le Gouvernent du Sénégal dans la transposition des nouvelles directives de l’UEMOA ainsi que les changements institutionnels et la réorganisation des services de l’Etat. Il soutiendra, par exemple, le processus de déconcentration de l’ordonnancement dans les ministères et auprès des Présidents d’Institution constitutionnels, conformément aux directives de l’UEMOA.
Les autres domaines de concentration du projet inclus le développement et mise en œuvre d’une stratégie de gestion de la dette, l’amélioration des systèmes d’information de gestion des finances publiques, l’amélioration de l’efficacité des systèmes d’audit interne.
L’appui à la transparence dans la gestion des ressources publiques et à la nécessité de rendre compte sera particulièrement mis en œuvre à travers les appuis à la Commission des finances du Parlement sénégalais et la Cour des comptes.
Fily Sissoko a particulièrement insisté sur le fait que le PARFP va également appuyer les organisations de la société civile et les media en renforçant leur connaissance dans la gestion des fonds publics pour mieux les aider à assurer leur mission dans de « contrôle citoyen » comme l’a indiqué la vice-présidente de la Banque mondiale pour l’ Afrique, Mme Obliageli Ezekwesili lors du dialogue avec des organisations de la société civile africaine le 8 avril dernier à Washington.
Selon Fily Sissoko, chargé du projet au niveau de la Banque mondiale, le projet d’appui aux reformes des finances publiques (PARFP) vise essentiellement pendant les quatre prochaine années « à renforcer la politique budgétaire et les perspectives pluriannuelles dans la planification mais aussi les mécanismes d’exécution budgétaire tout en amélioration de façon substantielle le contrôle externe et parlementaire ».
Le PARFP est une opération qui arrive à point nommé pour le Sénégal compte tenu de l’adoption par l’Union monétaire ouest-africaine (UEMOA) de six nouvelles directives visant à moderniser l’environnement juridique et institutionnel du système de gestion des finances publiques afin de parvenir à accroître la crédibilité du budget, rendre plus transparentes les opérations financières de l’Etat et également à renforcer les dispositifs de contrôle interne et externe sur l’exécution budgétaire.
Le projet appuiera le Gouvernent du Sénégal dans la transposition des nouvelles directives de l’UEMOA ainsi que les changements institutionnels et la réorganisation des services de l’Etat. Il soutiendra, par exemple, le processus de déconcentration de l’ordonnancement dans les ministères et auprès des Présidents d’Institution constitutionnels, conformément aux directives de l’UEMOA.
Les autres domaines de concentration du projet inclus le développement et mise en œuvre d’une stratégie de gestion de la dette, l’amélioration des systèmes d’information de gestion des finances publiques, l’amélioration de l’efficacité des systèmes d’audit interne.
L’appui à la transparence dans la gestion des ressources publiques et à la nécessité de rendre compte sera particulièrement mis en œuvre à travers les appuis à la Commission des finances du Parlement sénégalais et la Cour des comptes.
Fily Sissoko a particulièrement insisté sur le fait que le PARFP va également appuyer les organisations de la société civile et les media en renforçant leur connaissance dans la gestion des fonds publics pour mieux les aider à assurer leur mission dans de « contrôle citoyen » comme l’a indiqué la vice-présidente de la Banque mondiale pour l’ Afrique, Mme Obliageli Ezekwesili lors du dialogue avec des organisations de la société civile africaine le 8 avril dernier à Washington.