Tout est parti de la solution jugée durable aux récurrents problèmes d’inondations de la ville de Saint-Louis.
Les autorités de l’époque avaient jugé judicieux de creuser une brèche de 100 mètres de long sur quatre mètres de large en aval de la ville afin de permettre aux eaux du fleuve de se déverser dans la mer.
Aujourd’hui, la brèche s’est élargie en amont vers l’ancienne embouchure à une vitesse inattendue pour atteindre 19 kilomètres à cause de la pression combinée des eaux du fleuve et de la mer.
Une situation qui a fini par créer une véritable psychose chez les populations « Gandiolaises », qui ont assisté, impuissantes, à la disparition de villages comme Doune Baba Dièye et la destruction de la mangrove qui servait de refuge et de lieu de reproduction aux poissons, tortues et à plusieurs espèces d’oiseaux. Ce n’est pas tout.
D’autres impacts s’y sont greffés comme la remontée de la nappe d’eau douce qui a cédé la place à une eau de plus en plus salée, la salinisation des sols qui est une sérieuse menace sur l’avenir de la culture maraîchère, la perte de moyens de subsistance des jeunes actifs de la zone, …et la fermeture de plusieurs installations hôtelières se trouvant à l’époque sur la langue de barbarie au Gandiol.
Un ensemble de problèmes sur lesquels se sont fondés les membres de la Convention, à travers les plaidoyers de son coordonnateur El Hadj Ndiogou Diop, du Professeur Sidi Fakha Diop et de Moussa Niang, pour tenter de convaincre leur auditoire sur le bien-fondé de la cause. Des problèmes, insistent-ils, qui ont des solutions et que les autorités de l’Etat doivent prendre en charge.
La Convention des Gandiol-Gandiol compte organiser un séminaire sur la brèche et ses conséquences sur les populations du Gandiol au courant de l’année 2018, mettre en ligne leur site internet www.gandiol-gandiol.org, contribuer aux différents projets de construction de salles de classe dans les différents villages, accompagner des associations de développement local.
LESOLEIL
Les autorités de l’époque avaient jugé judicieux de creuser une brèche de 100 mètres de long sur quatre mètres de large en aval de la ville afin de permettre aux eaux du fleuve de se déverser dans la mer.
Aujourd’hui, la brèche s’est élargie en amont vers l’ancienne embouchure à une vitesse inattendue pour atteindre 19 kilomètres à cause de la pression combinée des eaux du fleuve et de la mer.
Une situation qui a fini par créer une véritable psychose chez les populations « Gandiolaises », qui ont assisté, impuissantes, à la disparition de villages comme Doune Baba Dièye et la destruction de la mangrove qui servait de refuge et de lieu de reproduction aux poissons, tortues et à plusieurs espèces d’oiseaux. Ce n’est pas tout.
D’autres impacts s’y sont greffés comme la remontée de la nappe d’eau douce qui a cédé la place à une eau de plus en plus salée, la salinisation des sols qui est une sérieuse menace sur l’avenir de la culture maraîchère, la perte de moyens de subsistance des jeunes actifs de la zone, …et la fermeture de plusieurs installations hôtelières se trouvant à l’époque sur la langue de barbarie au Gandiol.
Un ensemble de problèmes sur lesquels se sont fondés les membres de la Convention, à travers les plaidoyers de son coordonnateur El Hadj Ndiogou Diop, du Professeur Sidi Fakha Diop et de Moussa Niang, pour tenter de convaincre leur auditoire sur le bien-fondé de la cause. Des problèmes, insistent-ils, qui ont des solutions et que les autorités de l’Etat doivent prendre en charge.
La Convention des Gandiol-Gandiol compte organiser un séminaire sur la brèche et ses conséquences sur les populations du Gandiol au courant de l’année 2018, mettre en ligne leur site internet www.gandiol-gandiol.org, contribuer aux différents projets de construction de salles de classe dans les différents villages, accompagner des associations de développement local.
LESOLEIL