Né à Saint-Louis en 1971 , où résident actuellement son épouse et ses jeunes deux enfants, Moussa Dieng, qui a trouvé la mort samedi lors d'une intervention chez un patient, travaillait depuis plusieurs années déjà à Jussieu Secours Besançon. « Il était très apprécié » de sa direction et de ses équipiers, tous conquis par cette personnalité solaire, ouverte sur les autres.
Investi dans le milieu associatif
« Le mot générosité, c’est Moussa qui l’avait inventé », raconte un ambulancier, « il était très investi dans l’associatif : il aidait les étudiants de son pays, il s’occupait de personnes âgées, il a aussi créé énormément de choses au Sénégal ».
Un projet professionnel amenait d’ailleurs Moussa Dieng à porter son regard vers sa terre natale. « Il voulait travailler encore quelques années à Besançon, pour pouvoir monter sa propre entreprise là-bas, toujours pour aider les autres… Tout ça, c’est fichu », se désole son collègue.
Avec Estrepublicain.fr
Investi dans le milieu associatif
« Le mot générosité, c’est Moussa qui l’avait inventé », raconte un ambulancier, « il était très investi dans l’associatif : il aidait les étudiants de son pays, il s’occupait de personnes âgées, il a aussi créé énormément de choses au Sénégal ».
Un projet professionnel amenait d’ailleurs Moussa Dieng à porter son regard vers sa terre natale. « Il voulait travailler encore quelques années à Besançon, pour pouvoir monter sa propre entreprise là-bas, toujours pour aider les autres… Tout ça, c’est fichu », se désole son collègue.
Avec Estrepublicain.fr