À les en croire, le pouvoir ”vient de décider de mettre Ousmane Sonko en résidence surveillée”. Ils en veulent pour preuve la ”brutalité” qui a été employée par les forces de l’ordre sur leur leader. ”Ce n’est pas une simple affaire de diffamation, déclare Diomaye Faye. C’est un processus de liquidation d’un adversaire politique. Avec un arsenal militaire, Ousmane Sonko est assigné à résidence”.
”Dès les premières heures de la matinée, l’intimidation a commencé avec le forcing du GIGN et de la BIP qui ont voulu escorter de force le président Sonko jusqu’à endommager deux de nos véhicules”, dénonce le jeune cadre du Pastef.
Birame Souleye Diop et Cie flairent derrière ces agissements des manoeuvres d’une dictature rampante. ”Ousmane Sonko est le dernier rempart vers une dictature méchante. Si le pouvoir arrive à emprisonner Ousmane Sonko, ce sera la dictature totale. Tous les citoyens doivent se dresser contre cette dictature rampante. Si nous ne le faisons pas, nous serons les prochains sur la liste”, alerte le BP du Pastef.
Revenant sur l’audience de ce jeudi qui a finalement été renvoyée au 16 mars, le Bureau politique du Pastef indexe la ”logique de délai électoraliste” qui anime le juge. ”Le juge est dans une logique de délai, parce qu’il sait que le chrono est lancé pour la Présidentielle et ils veulent épuiser toutes les voies de recours avant cette date pour rendre inéligible Ousmane Sonko”, martèle Bassirou Diomaye Faye.
SENEWEB
”Dès les premières heures de la matinée, l’intimidation a commencé avec le forcing du GIGN et de la BIP qui ont voulu escorter de force le président Sonko jusqu’à endommager deux de nos véhicules”, dénonce le jeune cadre du Pastef.
Birame Souleye Diop et Cie flairent derrière ces agissements des manoeuvres d’une dictature rampante. ”Ousmane Sonko est le dernier rempart vers une dictature méchante. Si le pouvoir arrive à emprisonner Ousmane Sonko, ce sera la dictature totale. Tous les citoyens doivent se dresser contre cette dictature rampante. Si nous ne le faisons pas, nous serons les prochains sur la liste”, alerte le BP du Pastef.
Revenant sur l’audience de ce jeudi qui a finalement été renvoyée au 16 mars, le Bureau politique du Pastef indexe la ”logique de délai électoraliste” qui anime le juge. ”Le juge est dans une logique de délai, parce qu’il sait que le chrono est lancé pour la Présidentielle et ils veulent épuiser toutes les voies de recours avant cette date pour rendre inéligible Ousmane Sonko”, martèle Bassirou Diomaye Faye.
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