Ses cheveux courts, sa taille (1m90) et l’assurance qu’elle dégage ont alimenté les comparaisons avec sa joueuse préférée Aminata Nar Diop ancienne pensionnaire du Saint-Louis BC. Au nord, sa faculté d’adaptation dans l’équipe des coumba ndar et les exploits réalisés avec le SLBC ont conquis Joseph Gaye, séduit ses coéquipières et étonné ceux qui n’avaient jamais entendu parler de Diary Diouf avant la saison 2010. Depuis, ils sont nombreux à l’avoir entendu parler, un peu plus à l’avoir vu jouer, et, tous, sous le charme conviennent que Saint-Louis a réalisé un bon coup en l’achetant à Bopp.
En quelques mois, Diary a étalé une capacité étonnante d’adaptation. Altruiste et sensible, <<Taxi>> l’est aussi avec ses coéquipières << c’est une bonne partenaire disent les jeunes filles de SLBC. Parfois elle nous voyait triste et nous disait, il faut que vous soyez costauds, que vous vous accrochez, que vous croyez en vos qualités.
Le respect que l’ancienne boppoise inspire est lié à l’investissement qu’elle a déployé pour s’intégrer dans la capitale du nord, qu’elle ne voyait que lors des déplacements de son ancien club à Joseph Gaye. Dés son arrivée à Saint-Louis, elle a voulu être au niveau de ses partenaires pour gagner une place de titulaire. D’une certaine manière, Saint-Louis lui a déjà beaucoup donné : championne du Sénégal en 2011 et détentrice de la coupe en 2011 et 2012, mais Diary n’est toujours pas rassasiée, son objectif : réaliser encore le doublé coupe-championnat, être reine et pourquoi pas intégrer l’équipe nationale et devenir professionnelle. Chose réalisable nous dit EL Hadji Diop coach de SLBC<< c’est une joueuse polyvalente, capable de jouer aux postes 3 et 4. Elle est pétrie de qualité et n’a pas encore montrer tout ce dont elle est capable de faire. Elle peut valoir beaucoup de satisfaction au basket saint-Louisien et même nationale à condition qu’elle se blaise exploser>>.
Née en 1989 et venue au basket en 2003 grâce à une nommée Madjiguéne Diabaté, Diary est presque arrivée au summum de son art.
Ibrahima Diarra
En quelques mois, Diary a étalé une capacité étonnante d’adaptation. Altruiste et sensible, <<Taxi>> l’est aussi avec ses coéquipières << c’est une bonne partenaire disent les jeunes filles de SLBC. Parfois elle nous voyait triste et nous disait, il faut que vous soyez costauds, que vous vous accrochez, que vous croyez en vos qualités.
Le respect que l’ancienne boppoise inspire est lié à l’investissement qu’elle a déployé pour s’intégrer dans la capitale du nord, qu’elle ne voyait que lors des déplacements de son ancien club à Joseph Gaye. Dés son arrivée à Saint-Louis, elle a voulu être au niveau de ses partenaires pour gagner une place de titulaire. D’une certaine manière, Saint-Louis lui a déjà beaucoup donné : championne du Sénégal en 2011 et détentrice de la coupe en 2011 et 2012, mais Diary n’est toujours pas rassasiée, son objectif : réaliser encore le doublé coupe-championnat, être reine et pourquoi pas intégrer l’équipe nationale et devenir professionnelle. Chose réalisable nous dit EL Hadji Diop coach de SLBC<< c’est une joueuse polyvalente, capable de jouer aux postes 3 et 4. Elle est pétrie de qualité et n’a pas encore montrer tout ce dont elle est capable de faire. Elle peut valoir beaucoup de satisfaction au basket saint-Louisien et même nationale à condition qu’elle se blaise exploser>>.
Née en 1989 et venue au basket en 2003 grâce à une nommée Madjiguéne Diabaté, Diary est presque arrivée au summum de son art.
Ibrahima Diarra