Organisé par la station régionale du Sahel d’Africa Rice, avec l’appui du Partenariat Mondial sur la Recherche Rizicole (GRISP), cet atelier permettra, selon le Docteur Vincent Bado, directeur de la station d’Africa Rice de Saint-Louis, aux participants d’identifier les domaines potentiels de mécanisation, les fournisseurs d’intrants, les besoins en renforcement des capacités des techniciens, des mécaniciens, des machinistes et des responsables de la vulgarisation.
Venus du Mali, du Ghana, du Sénégal, du Nigéria, de Sierra Léone, de la Tanzanie et de l’Ouganda, réfléchiront sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour booster la production rizicole à partir de la mécanisation agricole.
Pour M. Bado, l’absence de la mécanisation limite gravement la productivité et la compétitivité des systèmes à base à base riz en Afrique Sub Saharienne. Dans le même temps, le continent est jonché de carcasses de machines agricoles importées, abandonnées à cause des modèles inadaptés, du manque de pièces de rechange ou de l’entretien onéreux. La mécanisation est cruciale mais son introduction requiert une analyse attentive des succès et des échecs de même qu’un examen des leçons apprises.
Cet atelier, a-t-il précisé, permettra ainsi de faire le tour d’horizon de l’état de la mécanisation agricole dans sept pays africains et de documenter la capacité des partenaires potentiels à petite et à grande échelle du secteur privé à répondre aux besoins de booster la mécanisation.
Dans le même sens, le directeur scientifique de l’ISRA, Alioune Fall, a rappelé que les discussions se focaliseront sur l’équipement requis dans chaque pays, les approches et les modèles fonctionnels, de même que le développement des capacités pour soutenir l’industrie. L’objectif final est de développer une feuille de route et suggérer des approches concrètes de mise en œuvre en vue de booster la mécanisation agricole dans les systèmes à base riz en Afrique Sub Saharienne.
Venus du Mali, du Ghana, du Sénégal, du Nigéria, de Sierra Léone, de la Tanzanie et de l’Ouganda, réfléchiront sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour booster la production rizicole à partir de la mécanisation agricole.
Pour M. Bado, l’absence de la mécanisation limite gravement la productivité et la compétitivité des systèmes à base à base riz en Afrique Sub Saharienne. Dans le même temps, le continent est jonché de carcasses de machines agricoles importées, abandonnées à cause des modèles inadaptés, du manque de pièces de rechange ou de l’entretien onéreux. La mécanisation est cruciale mais son introduction requiert une analyse attentive des succès et des échecs de même qu’un examen des leçons apprises.
Cet atelier, a-t-il précisé, permettra ainsi de faire le tour d’horizon de l’état de la mécanisation agricole dans sept pays africains et de documenter la capacité des partenaires potentiels à petite et à grande échelle du secteur privé à répondre aux besoins de booster la mécanisation.
Dans le même sens, le directeur scientifique de l’ISRA, Alioune Fall, a rappelé que les discussions se focaliseront sur l’équipement requis dans chaque pays, les approches et les modèles fonctionnels, de même que le développement des capacités pour soutenir l’industrie. L’objectif final est de développer une feuille de route et suggérer des approches concrètes de mise en œuvre en vue de booster la mécanisation agricole dans les systèmes à base riz en Afrique Sub Saharienne.