Le Fonds international de développement agricole (Fida) en partenariat avec le ministère de l’agriculture et de l’équipement rural a organisé un atelier de partage hier, lundi 9 février à Dakar. Cette rencontre de deux jours a pour objectif de partager les résultats des projets appuyés par la Fida. Selon Luyaku Nsimpasi, chargé de portefeuille Fida au Sénégal, en 35 ans,16 projets d’un montant global de plus de 248 milliards de Fcfa ont été réalisés au Sénégal
En 36 ans de partenariat avec le Sénégal à travers le ministère de l’agriculture et de l’équipement rural, le fonds international de développement agricole (Fida) a investi au Sénégal plus de 248 milliards de Fcfa pour le financement de 16 projets. C’est du moins ce qu’a fait savoir Luyaku NSimpasi, chargé de portefeuille Fida au Sénégal lors de l’atelier de partage des résultats des projets appuyés par la Fida au Sénégal hier, lundi 9 février à Dakar.
« Le Fida est au Sénégal depuis 1979 pour appuyer le gouvernement du Sénégal à travers le Plan Sénégal Emergent (Pse). Cette coopération se traduit sur le terrain par différents projets et programmes en cours En 36 ans le coût total des 16 projets du programme Fida au Sénégal s’élève à 248,521 milliards de francs Cfa (428,6 millions de dollars Us)»,informe Mr Nsimpasi.
Parmi les projets phares du Fida, il cite le projet d’appui au développement agricole et à l’entreprenariat rural (Padaer) qui couvre les régions de Tambacounda, de Kédougou, Kolda et Matam, le projet d’appui aux filières agricoles (Pafa) qui intervient dans les régions de Kaolack, de Diourbel, de Fatick, et de Kaffrine et en fin le Pafa extension qui va s’étendre dans la région de Louga.
Le représentant du Fida à Dakar soutient que ces projets œuvrent pour l’essentiel pour l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’augmentation des revenus des populations bénéficiaires, la création d’emplois pour les jeunes et les femmes et l’amélioration de la résilience des populations rurales.
«A ce jour ces projets ont atteint de très bons résultats en termes de sécurité alimentaire. Par exemple là où Pafa opère, les mois de soudures qui étaient à six mois sont aujourd’hui à zéro ou un mois. Les revenus ont augmenté de façon extraordinaire. Les rendements de production pour toutes les populations couvertes par le projet ont été au moins doublés », se réjouit-il.
Mieux, il ajoute que plus de 6000 emplois pour les jeunes ont été créés au niveau des différentes régions où intervient le Fida et la résilience des populations de ces zones a été également renforcée.
Selon lui, ces bons résultats sont obtenus sur le terrain grâce à des innovations et bonnes pratiques adoptées par les acteurs intervenant dans ce domaine. Convaincu que les problèmes de développement de la sécurité alimentaire ne peuvent pas être résolus durablement par un seul projet, Luyaku Nsimpasi pense qu’il faudrait que tout le monde s’approprie ces bonnes pratiques et innovations qui sont validées et testées.
« Les producteurs et productrices doivent s’approprier ces technologies pour faire la mise à échelle en vue d’atteindre un plus grand nombre des populations rurales. Je suis convaincu que c’est de cette façon qu’on pourra résoudre les problèmes de la sécurité alimentaire à l’intérieur du pays et augmenter durablement les revenus »,recommande-t-il.
En 36 ans de partenariat avec le Sénégal à travers le ministère de l’agriculture et de l’équipement rural, le fonds international de développement agricole (Fida) a investi au Sénégal plus de 248 milliards de Fcfa pour le financement de 16 projets. C’est du moins ce qu’a fait savoir Luyaku NSimpasi, chargé de portefeuille Fida au Sénégal lors de l’atelier de partage des résultats des projets appuyés par la Fida au Sénégal hier, lundi 9 février à Dakar.
« Le Fida est au Sénégal depuis 1979 pour appuyer le gouvernement du Sénégal à travers le Plan Sénégal Emergent (Pse). Cette coopération se traduit sur le terrain par différents projets et programmes en cours En 36 ans le coût total des 16 projets du programme Fida au Sénégal s’élève à 248,521 milliards de francs Cfa (428,6 millions de dollars Us)»,informe Mr Nsimpasi.
Parmi les projets phares du Fida, il cite le projet d’appui au développement agricole et à l’entreprenariat rural (Padaer) qui couvre les régions de Tambacounda, de Kédougou, Kolda et Matam, le projet d’appui aux filières agricoles (Pafa) qui intervient dans les régions de Kaolack, de Diourbel, de Fatick, et de Kaffrine et en fin le Pafa extension qui va s’étendre dans la région de Louga.
Le représentant du Fida à Dakar soutient que ces projets œuvrent pour l’essentiel pour l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’augmentation des revenus des populations bénéficiaires, la création d’emplois pour les jeunes et les femmes et l’amélioration de la résilience des populations rurales.
«A ce jour ces projets ont atteint de très bons résultats en termes de sécurité alimentaire. Par exemple là où Pafa opère, les mois de soudures qui étaient à six mois sont aujourd’hui à zéro ou un mois. Les revenus ont augmenté de façon extraordinaire. Les rendements de production pour toutes les populations couvertes par le projet ont été au moins doublés », se réjouit-il.
Mieux, il ajoute que plus de 6000 emplois pour les jeunes ont été créés au niveau des différentes régions où intervient le Fida et la résilience des populations de ces zones a été également renforcée.
Selon lui, ces bons résultats sont obtenus sur le terrain grâce à des innovations et bonnes pratiques adoptées par les acteurs intervenant dans ce domaine. Convaincu que les problèmes de développement de la sécurité alimentaire ne peuvent pas être résolus durablement par un seul projet, Luyaku Nsimpasi pense qu’il faudrait que tout le monde s’approprie ces bonnes pratiques et innovations qui sont validées et testées.
« Les producteurs et productrices doivent s’approprier ces technologies pour faire la mise à échelle en vue d’atteindre un plus grand nombre des populations rurales. Je suis convaincu que c’est de cette façon qu’on pourra résoudre les problèmes de la sécurité alimentaire à l’intérieur du pays et augmenter durablement les revenus »,recommande-t-il.