Face à la presse, le vice-président de l'Ong « Jamra », Mame Matar, s’est insurgé contre les annonces publicitaires encourageant l’avortement médicalisé au Sénégal. Il accuse les organisations féministes d’être de mèche avec des lobbies maçonniques qui les encouragent et les financent pour mener cette campagne médiatique. « C’est un projet maçonnique délégué aux féministes », a-t-il insisté.
D’après M. Guèye, « la maîtrise des nouvelles technologies ainsi que les récents progrès de la science médicale ont conféré à l’homme une souveraineté plus étendue sur les lois de la nature, au point de l’inciter à la manipulation de la vie, fécondations in vitro, inséminations artificielles, congélations d’embryons, bébés-éprouvettes, mères-porteuses ou à la destruction de la vie, euthanasie, avortement l’émergence d’organismes paraétatiques, comme le "Comité consultatif d’éthique pour les sciences de la Vie et de la Santé", en France, qui font office de garde-fous, en tempérant au besoin les ardeurs de la recherche scientifique, pour prévenir d’éventuels dérapages, mérite d’être salué ».
Selon ce membre de « Jamra», l’absence, au Sénégal, d’une structure consultative analogue ne serait pas étrangère à la controverse qui agite présentement le champ public, suscitée par certaines organisations féministes, sur l’opportunité de dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse (Ivg).
D’après M. Guèye, « la maîtrise des nouvelles technologies ainsi que les récents progrès de la science médicale ont conféré à l’homme une souveraineté plus étendue sur les lois de la nature, au point de l’inciter à la manipulation de la vie, fécondations in vitro, inséminations artificielles, congélations d’embryons, bébés-éprouvettes, mères-porteuses ou à la destruction de la vie, euthanasie, avortement l’émergence d’organismes paraétatiques, comme le "Comité consultatif d’éthique pour les sciences de la Vie et de la Santé", en France, qui font office de garde-fous, en tempérant au besoin les ardeurs de la recherche scientifique, pour prévenir d’éventuels dérapages, mérite d’être salué ».
Selon ce membre de « Jamra», l’absence, au Sénégal, d’une structure consultative analogue ne serait pas étrangère à la controverse qui agite présentement le champ public, suscitée par certaines organisations féministes, sur l’opportunité de dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse (Ivg).