Le directeur de l’horticulture (DHORT) s’est félicité mercredi des résultats satisfaisants enregistrés par ferme de la société Swami Agri, basé à Mbane (département de Dagana). « Un taux de 58 % de la production nationale de pomme de terre, cette année, proviendra de ce site et les chambres froides pour les garder sont disponibles. Cela veut dire qu’on est sécurisé », a-t-il dit au terme d’une visite des aménagements en compagnie du vice-président de l’Association des consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) et du président de l’union des maraîchers de la zone des Niayes.
« Nous sommes très confortables. Et ce qu’on a vu ici, nous permet d’être particulièrement rassurés encore une fois cette année. Sur l’objectif de 145 mille tonnes qui était fixé pour cette campagne, on aura ici 85 mille tonnes », a renseigné le docteur DIOUF, rassuré par le taux de production de pommes de terre destinée à la consommation locale.
Le directeur de l’horticulture a rappelé de 2013 à aujourd’hui, le Sénégal est passé d’une dépendance totale vis-à-vis de l’étranger à une production presque suffisante pour la filière pomme de terre.
« Nous sommes passés d’une production de quasiment 10 à 12 mille tonnes en 2013 à 140 mille tonnes pour la pomme de terre. Une dépendance totale de l’étranger jusqu’à ce qu’on puisse produire suffisamment pour le marché », a-t-il soutenu.
« Nous sommes très confortables. Et ce qu’on a vu ici, nous permet d’être particulièrement rassurés encore une fois cette année. Sur l’objectif de 145 mille tonnes qui était fixé pour cette campagne, on aura ici 85 mille tonnes », a renseigné le docteur DIOUF, rassuré par le taux de production de pommes de terre destinée à la consommation locale.
Le directeur de l’horticulture a rappelé de 2013 à aujourd’hui, le Sénégal est passé d’une dépendance totale vis-à-vis de l’étranger à une production presque suffisante pour la filière pomme de terre.
« Nous sommes passés d’une production de quasiment 10 à 12 mille tonnes en 2013 à 140 mille tonnes pour la pomme de terre. Une dépendance totale de l’étranger jusqu’à ce qu’on puisse produire suffisamment pour le marché », a-t-il soutenu.