Les charrettes désormais soumises à des visites techniques. Désormais, au Sénégal les charrettes sont soumises à des visites techniques au niveau de la division régionale des transports terrestres chargée de délivrer un certificat d’aptitude. C’est en substance le contenu d’un arrêté interministériel portant réglementation du transport par des véhicules hippomobiles. Un atelier de vulgarisation dudit arrêté a été organisé mardi par la Police nationale en collaboration avec l’ONG Brooke.
D’après le chef de la division études, prospective et coopération de la Direction de la sécurité publique (Dsp), le document signé par le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, ainsi que celui de l’Elevage et de la Production animale, vise à organiser le domaine du transport hippomobile en édictant des règles qui vont permettre aux détenteurs de véhicules de se mettre en règle conformément à son article 10 qui prévoit : « tout propriétaire d’un véhicule hippomobile est tenu de présenter tous les six mois à une visite technique effectuée par la division régionale des transports terrestres chargée de délivrer un certificat d’aptitude. Cette visite a pour but de vérifier l’état de la carrosserie, de l’éclairage, de la signalisation et du harnachement ».
L’autre motivation de cet arrêté est relative à la garantie du bien-être des équidés eux-mêmes. « Tout cheval résident au Sénégal doit avoir un livret sanitaire et signalétique. L’équidé utilisé à des fins commerciales doit être reconnu apte par les services de l’élevage chargé de la délivrance d’un certificat d’aptitude. Une visite spéciale obligatoire est effectuée tous les six mois pour vérifier l’état sanitaire de l’animal. Les actes sanitaires de même que les prélèvements biologiques subis par le cheval doivent être mentionnés dans le livret », précise l’arrêté interministériel à son article 12.
« Cet arrêté va permettre sans nul doute de renforcer nos hommes en matière de protection et de bien-être des équidés », a indiqué le commissaire Boubacar Ba. Qui ajoute que « les autorités, conscientes du rôle économique de ces équidés et de leur protection, ont bien voulu faire adopter cet arrêté interministériel. Parce que ce n’est pas très rare de voir des enfants de moins de 15 ans conduire des charrettes dans Dakar. On voit également des équidés dans un état très pitoyable ».
Selon lui, l’immatriculation des charrettes et les cartes dont devront disposer les cochers permettront de bien les identifier en cas d’infraction.
Avec Laviesenegalaise
D’après le chef de la division études, prospective et coopération de la Direction de la sécurité publique (Dsp), le document signé par le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, ainsi que celui de l’Elevage et de la Production animale, vise à organiser le domaine du transport hippomobile en édictant des règles qui vont permettre aux détenteurs de véhicules de se mettre en règle conformément à son article 10 qui prévoit : « tout propriétaire d’un véhicule hippomobile est tenu de présenter tous les six mois à une visite technique effectuée par la division régionale des transports terrestres chargée de délivrer un certificat d’aptitude. Cette visite a pour but de vérifier l’état de la carrosserie, de l’éclairage, de la signalisation et du harnachement ».
L’autre motivation de cet arrêté est relative à la garantie du bien-être des équidés eux-mêmes. « Tout cheval résident au Sénégal doit avoir un livret sanitaire et signalétique. L’équidé utilisé à des fins commerciales doit être reconnu apte par les services de l’élevage chargé de la délivrance d’un certificat d’aptitude. Une visite spéciale obligatoire est effectuée tous les six mois pour vérifier l’état sanitaire de l’animal. Les actes sanitaires de même que les prélèvements biologiques subis par le cheval doivent être mentionnés dans le livret », précise l’arrêté interministériel à son article 12.
« Cet arrêté va permettre sans nul doute de renforcer nos hommes en matière de protection et de bien-être des équidés », a indiqué le commissaire Boubacar Ba. Qui ajoute que « les autorités, conscientes du rôle économique de ces équidés et de leur protection, ont bien voulu faire adopter cet arrêté interministériel. Parce que ce n’est pas très rare de voir des enfants de moins de 15 ans conduire des charrettes dans Dakar. On voit également des équidés dans un état très pitoyable ».
Selon lui, l’immatriculation des charrettes et les cartes dont devront disposer les cochers permettront de bien les identifier en cas d’infraction.
Avec Laviesenegalaise