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Le Président de la République du Sénégal, SEM Macky Sall, s’est fait jeudi l’avocat de la Jeunesse africaine, lors de son intervention à la rencontre du G-20, qui se tient les 5 et 6 septembre 2013 à Saint Pétersbourg, en Russie.
En présence des leaders des pays les plus développés du monde, Chef de l’Etat a indiqué que seul le développement, qui permet de donner de l’emploi à la Jeunesse africaine, peut lui éviter d’être la proie de l’extrémisme et du terrorisme.
Le Président Sall a invité les pays riches à s’intéresser à l’Afrique et à ses potentialités, soulignant les efforts faits par les africains en matière de gouvernance économique et de démocratie. Il a présenté le programme prioritaire d’infrastructures de l’Afrique, d’un coût global de 380 milliards de dollars américains pour la période 2012-2040, avec une phase prioritaire de 68 milliards de dollars. « Sans le développement des infrastructures, l’Afrique ne pourra pas relever le défi du développement », a plaidé le Chef de l’Etat.
Le Président Sall a aussi attiré l’attention de la communauté internationale sur le poids grandissant de la dette et la cherté du crédit, qui retardent le développement de l’Afrique, « alors que l’Afrique peut beaucoup apporter à
l’économie mondiale, puisqu’elle le fait déjà malgré ces nombreuses contraintes ». Le Président de la République a appelé les pays du G-20 à plus d’ouverture et de solidarité, « pour une croissance inclusive et non exclusive ».
Ndarinfo.com
En présence des leaders des pays les plus développés du monde, Chef de l’Etat a indiqué que seul le développement, qui permet de donner de l’emploi à la Jeunesse africaine, peut lui éviter d’être la proie de l’extrémisme et du terrorisme.
Le Président Sall a invité les pays riches à s’intéresser à l’Afrique et à ses potentialités, soulignant les efforts faits par les africains en matière de gouvernance économique et de démocratie. Il a présenté le programme prioritaire d’infrastructures de l’Afrique, d’un coût global de 380 milliards de dollars américains pour la période 2012-2040, avec une phase prioritaire de 68 milliards de dollars. « Sans le développement des infrastructures, l’Afrique ne pourra pas relever le défi du développement », a plaidé le Chef de l’Etat.
Le Président Sall a aussi attiré l’attention de la communauté internationale sur le poids grandissant de la dette et la cherté du crédit, qui retardent le développement de l’Afrique, « alors que l’Afrique peut beaucoup apporter à
l’économie mondiale, puisqu’elle le fait déjà malgré ces nombreuses contraintes ». Le Président de la République a appelé les pays du G-20 à plus d’ouverture et de solidarité, « pour une croissance inclusive et non exclusive ».
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