Créée en 2003, l’association ASSCAN a très tôt constaté qu’à un niveau micro comme macrosociologique, tout développement a pour base déterminante, l’Education.
A cet effet ses membres ont œuvré pour un développement harmonieux des individus, gage d’un développement endogène de nos sociétés, à la conformité des choix d’éducation aux contextes et spécificités locaux qui sont un réel signe de souveraineté et d’indépendance dans le choix de vie de notre société.
Pour son 10ème anniversaire, l’association à l’université Gaston Berger, une journée d’action au cours de laquelle 5 Panels sur la politique du sport, les infrastructures, les associations, l’éducation et sport et handicap ont été organisés.
Un plateau riche avec d’imminentes personnalités telles que le professeur Gora Mbodji, M. Chérif Haïdara, Division des sports du MEN, M. Jean-Philippe Allaire, Président de AFRICA RUN, M. Amadou Moustapha Sow, Coordonnateur de Plan Saint-Louis, M. Abdoulaye Fall Ndar, Inspecteur d’Académie de Saint-Louis, Thierno Diack, Directeur exécutif d’Olympafrica et Mme Rajah Diouri Sy, Special Olympics Sénégal.
Pendant plus de quatre heures d’horloge les panelistes ont tenu en haleine l’assistance. Dans l’après midi prés deux jeunes enfants ont fait une démonstration avec le Kids’Athletics.
Selon Insa Diagne initiateur du projet<< ASSCAN n’a pas la spécificité de la formation professionnelle. Elle n’a pas l’objectif, ni les moyens de supplanter les structures étatiques et privées, chargées de ce département crucial dans la prise en charge des jeunes, qui sont, de plus en plus, désenchantés, désorientés, et pris d’un doute récurrent et inhibant. C’est surtout le souci d’autonomie et de pérennisation de nos programmes qui nous a indiqué l’importance de la formation des jeunes animateurs qui intégraient les projets.
Les cas de réussite les plus distinctifs sont de l’ordre du qualitatif, plutôt que celui du nombre. Pour exemple, un jeune, titulaire du BFEM (quand-même !), a longuement participé à nos programmes comme animateur sportif, avant de passer dans les classes pour accompagner le soutien scolaire aux côtés des enseignants titulaires qui en avaient la charge>>.
Ibrahima Diarra
A cet effet ses membres ont œuvré pour un développement harmonieux des individus, gage d’un développement endogène de nos sociétés, à la conformité des choix d’éducation aux contextes et spécificités locaux qui sont un réel signe de souveraineté et d’indépendance dans le choix de vie de notre société.
Pour son 10ème anniversaire, l’association à l’université Gaston Berger, une journée d’action au cours de laquelle 5 Panels sur la politique du sport, les infrastructures, les associations, l’éducation et sport et handicap ont été organisés.
Un plateau riche avec d’imminentes personnalités telles que le professeur Gora Mbodji, M. Chérif Haïdara, Division des sports du MEN, M. Jean-Philippe Allaire, Président de AFRICA RUN, M. Amadou Moustapha Sow, Coordonnateur de Plan Saint-Louis, M. Abdoulaye Fall Ndar, Inspecteur d’Académie de Saint-Louis, Thierno Diack, Directeur exécutif d’Olympafrica et Mme Rajah Diouri Sy, Special Olympics Sénégal.
Pendant plus de quatre heures d’horloge les panelistes ont tenu en haleine l’assistance. Dans l’après midi prés deux jeunes enfants ont fait une démonstration avec le Kids’Athletics.
Selon Insa Diagne initiateur du projet<< ASSCAN n’a pas la spécificité de la formation professionnelle. Elle n’a pas l’objectif, ni les moyens de supplanter les structures étatiques et privées, chargées de ce département crucial dans la prise en charge des jeunes, qui sont, de plus en plus, désenchantés, désorientés, et pris d’un doute récurrent et inhibant. C’est surtout le souci d’autonomie et de pérennisation de nos programmes qui nous a indiqué l’importance de la formation des jeunes animateurs qui intégraient les projets.
Les cas de réussite les plus distinctifs sont de l’ordre du qualitatif, plutôt que celui du nombre. Pour exemple, un jeune, titulaire du BFEM (quand-même !), a longuement participé à nos programmes comme animateur sportif, avant de passer dans les classes pour accompagner le soutien scolaire aux côtés des enseignants titulaires qui en avaient la charge>>.
Ibrahima Diarra