Ousmane Sonko sera convoqué prochainement dans les locaux de cette unité d’élite de la police nationale. La même source d’informer que le dossier pourrait être transmis au procureur de la République qui devra statuer sur la suite à prendre. Pour mémoire une plainte a été déposée au mois de février dernier, contre Ousmane Sonko par l’ex-policier Frédéric Napel.
Dans sa lettre-plainte, M Napel avait soutenu : « Je viens auprès de votre haute bienveillance ester en jugement contre Ousmane SONKO pour, mise en danger de la vie d’autrui, atteinte à mon intégrité, appel au meurtre, fausses accusations et diffamation ». « En effet, explique-t-il, faisant sa déclaration de presse le jeudi 19 janvier 2023, Ousmane SONKO s’est attaqué directement à moi. Soutenant que je suis un criminel capable de tuer pour un rien, avant de me coller l’étiquette de comploteur contre sa personne car étant celui qui a contraint et obligé le doyen des juges, Maham Diallo, à l’envoyer devant la chambre criminelle.
Et pour terminer à me qualifier de taupe, de traître de la nation, car ayant transmis des informations classées confidentielles et hautement sensibles à ses amis et militants Qui sont-ils et par quels moyens ou quels supports ai-je utilisés pour transmettre ces informations à ces derniers ? Juste après ce discours, les inconditionnels souteneurs ont envahi les réseaux sociaux et téléphoniques menaçant de mettre fin à ma vie et aussi à celle de tout membre de ma famille ».
Dans sa lettre-plainte, M Napel avait soutenu : « Je viens auprès de votre haute bienveillance ester en jugement contre Ousmane SONKO pour, mise en danger de la vie d’autrui, atteinte à mon intégrité, appel au meurtre, fausses accusations et diffamation ». « En effet, explique-t-il, faisant sa déclaration de presse le jeudi 19 janvier 2023, Ousmane SONKO s’est attaqué directement à moi. Soutenant que je suis un criminel capable de tuer pour un rien, avant de me coller l’étiquette de comploteur contre sa personne car étant celui qui a contraint et obligé le doyen des juges, Maham Diallo, à l’envoyer devant la chambre criminelle.
Et pour terminer à me qualifier de taupe, de traître de la nation, car ayant transmis des informations classées confidentielles et hautement sensibles à ses amis et militants Qui sont-ils et par quels moyens ou quels supports ai-je utilisés pour transmettre ces informations à ces derniers ? Juste après ce discours, les inconditionnels souteneurs ont envahi les réseaux sociaux et téléphoniques menaçant de mettre fin à ma vie et aussi à celle de tout membre de ma famille ».