En étroite collaboration avec les conseils de quartiers et l’animateur Adama Coundoul, la Caritas, selon son chargé de programme, André Sène, a pu curer 110 fosses septiques, ramasser avec les Asc, les groupements de promotion féminine et les populations, les ordures ménagères et nettoyer les rues dans ces quartiers de Sor.
André Sène et Adama Coundoul se sont réjouis du déroulement de ces activités organisées dans un contexte pré hivernal et qui ont permis, par la même occasion, de sensibiliser les populations sur le comportement idéal et autres attitudes à adopter pour faire face aux problèmes de santé publique et améliorer leur cadre de vie.
Le paludisme, a rappelé M. Sène, est l’infection parasitaire la plus répandue dans le monde, notamment dans les pays d’Afrique tropicale au sud du Sahara où il représente la première cause de morbidité et de mortalité. C’est une maladie très dangereuse qui menace 40% de la population mondiale dans 90 pays, causant la mort de plus d’un million de personnes par an.
Le parasite responsable du paludisme est le Plasmodium. Il existe plusieurs espèces de plasmodium dont l’espèce falciparum qui est la plus " redoutable ". Ce parasite est transmis par la piqûre d’un moustique vecteur : l’anophèle femelle. Fièvre, maux de tête, courbatures, troubles digestifs sont les signes d’alerte de cette maladie.
Malgré les efforts déployés par la communauté nationale et internationale, a-t-il précisé, le paludisme ne cesse de progresser, touchant les personnes en activité, particulièrement les jeunes. Il est, aujourd’hui, la première cause de mortalité chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans. L’impact négatif de cette pandémie est d’autant plus important que les forces productrices de notre société soient les plus touchées.
Du fait de la pauvreté et du manque de prise en charge des malades, la prévention reste notre seule arme efficace. Adoptant une démarche participative auprès des pouvoirs la Caritas/Sénégal, a souligné André Sène, compte mettre son verbe et son geste au service de la communauté. C’est dans ce cadre qu’elle a pris l’option de sensibiliser les populations de sa localité sur les moyens de prévention et de lutte contre le paludisme par le biais des Asc, du mouvement associatif, des activités socioculturelles et éducatives.
Mbagnick Kharachi Diagne
André Sène et Adama Coundoul se sont réjouis du déroulement de ces activités organisées dans un contexte pré hivernal et qui ont permis, par la même occasion, de sensibiliser les populations sur le comportement idéal et autres attitudes à adopter pour faire face aux problèmes de santé publique et améliorer leur cadre de vie.
Le paludisme, a rappelé M. Sène, est l’infection parasitaire la plus répandue dans le monde, notamment dans les pays d’Afrique tropicale au sud du Sahara où il représente la première cause de morbidité et de mortalité. C’est une maladie très dangereuse qui menace 40% de la population mondiale dans 90 pays, causant la mort de plus d’un million de personnes par an.
Le parasite responsable du paludisme est le Plasmodium. Il existe plusieurs espèces de plasmodium dont l’espèce falciparum qui est la plus " redoutable ". Ce parasite est transmis par la piqûre d’un moustique vecteur : l’anophèle femelle. Fièvre, maux de tête, courbatures, troubles digestifs sont les signes d’alerte de cette maladie.
Malgré les efforts déployés par la communauté nationale et internationale, a-t-il précisé, le paludisme ne cesse de progresser, touchant les personnes en activité, particulièrement les jeunes. Il est, aujourd’hui, la première cause de mortalité chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans. L’impact négatif de cette pandémie est d’autant plus important que les forces productrices de notre société soient les plus touchées.
Du fait de la pauvreté et du manque de prise en charge des malades, la prévention reste notre seule arme efficace. Adoptant une démarche participative auprès des pouvoirs la Caritas/Sénégal, a souligné André Sène, compte mettre son verbe et son geste au service de la communauté. C’est dans ce cadre qu’elle a pris l’option de sensibiliser les populations de sa localité sur les moyens de prévention et de lutte contre le paludisme par le biais des Asc, du mouvement associatif, des activités socioculturelles et éducatives.
Mbagnick Kharachi Diagne