"Avec un peu plus de sérénité, on aurait pu éviter certains débordements. J'étais sorti avec l'ensemble de mon comité de sécurité pour accueillir les gens de Guet-Ndar parce qu'il y a une relation qui nous lie avec les populations. Ils avaient accepté de nous parler. Malheureusement, il y a eu des jets de grenades lacrymogènes. Je pense que le commandant du corps urbain devait avoir la même sérénité que son commissaire central", a-t-il indiqué dans le quotidien Vox Populi.
Il faut, recommande-t-il, qu'on s'asseye autour d'une table pour trouver les mesures conservatoires qui s'imposent. La sortie du gouverneur fut aussi l'occasion de rappeler à l'ordre les voisins de la Mauritanie qu'il invite à faire montre de respect et de considération à l'endroit des Sénégalais.
"Il faut que nos voisins mauritaniens sachent qu'ils n'ont pas affaire à des moutons ou des animaux, mais à des êtres humains. Nous partageons un espace, certes, mais on ne peut pas, chaque fois convoquer les bonnes relations et le bon voisinage le matin et tirer à balles réelles sur les populations la nuit. Je suis dégoûté par la façon de faire de nos voisins de la Mauritanie", a sévèrement condamné le gouverneur de Saint-Louis.
SENEWEB
Il faut, recommande-t-il, qu'on s'asseye autour d'une table pour trouver les mesures conservatoires qui s'imposent. La sortie du gouverneur fut aussi l'occasion de rappeler à l'ordre les voisins de la Mauritanie qu'il invite à faire montre de respect et de considération à l'endroit des Sénégalais.
"Il faut que nos voisins mauritaniens sachent qu'ils n'ont pas affaire à des moutons ou des animaux, mais à des êtres humains. Nous partageons un espace, certes, mais on ne peut pas, chaque fois convoquer les bonnes relations et le bon voisinage le matin et tirer à balles réelles sur les populations la nuit. Je suis dégoûté par la façon de faire de nos voisins de la Mauritanie", a sévèrement condamné le gouverneur de Saint-Louis.
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