La décision du président Wade d’octroyer une partie de l’aide à la presse aux correspondants régionaux ne rencontre pas l’adhésion du ministre de tutelle qui tarde à verser cet argent dans les comptes des ayants droit. Face à ce retard enregistré face à l’exécution de cette volonté présidentielle, les correspondants de Saint-Louis qui avaient loué une salle transformée en siége sont confrontés à la pression de leurs fournisseurs pour répondre aux engagements pris au nom de cette entité.
Dans les autres régions aussi la situation est similaire et du personnel avait été sollicité pour assurer les fonctions de gestionnaire ou de gardien des cyberespaces où se retrouvent depuis cette décision du président Wade pour travailler tous les jours.
Les correspondants pour la plupart ne disposent pas de siége fonctionnel. D’où cette volonté de Me Wade de leur allouer cette subvention pour faire face aux taches quotidiennes qui sont les leurs.
Dans les autres régions aussi la situation est similaire et du personnel avait été sollicité pour assurer les fonctions de gestionnaire ou de gardien des cyberespaces où se retrouvent depuis cette décision du président Wade pour travailler tous les jours.
Les correspondants pour la plupart ne disposent pas de siége fonctionnel. D’où cette volonté de Me Wade de leur allouer cette subvention pour faire face aux taches quotidiennes qui sont les leurs.