« En Afrique subsaharienne, 30 millions d’enfants dont 16 millions de jeunes filles sont hors du système scolaire. En plus de l’accès à l’école, le maintien des filles dans le système scolaire pose également d’énormes problèmes« , a notamment dit Mme Mbaye.
Elle s’adressait à la presse au en marge d’une journée de restitution du Rapport sur les bonnes pratiques en matière d’éducation des filles et des femmes en Afrique de l’ouest, réalisé dans le cadre du partenariat régional FAWE-Plan-UNICEF-Ancefa-Aide et Action.
Poursuivant son propos, Mme Mbaye a déclaré qu’il reste beaucoup de défis à relever dans le domaine de l’éducation, malgré les nombreuses interventions des partenaires techniques et financiers des Etats. « C’est pourquoi, a-t-elle ajouté, il faut harmoniser les interventions afin d’éviter les doublons. Cela est même une nécessité. D’où l’importance de notre partenariat régional« .
Au Sénégal, c’est dans les régions sud notamment Kolda et nord (Matam et Saint-Louis) où le taux de scolarisation des filles est encore faible, a-t-elle a indiqué, expliquant cette situation par plusieurs facteurs dont les violences faites aux filles, le manque d’infrastructures adaptées à leur situation et les mariages précoces.
Partant de là, selon Ramata Almamy Mbaye, »il vaut mieux communiquer et mieux partager sur les bonnes pratiques adoptées çà et là qui ont permis de booster le taux de scolarisation des filles. Au-delà de ces bonnes pratiques, il faut aller vers un projet régional engageant chaque organisation partenaire en faveur de l’éducation des filles« .
© Camer Post avec © APA
Elle s’adressait à la presse au en marge d’une journée de restitution du Rapport sur les bonnes pratiques en matière d’éducation des filles et des femmes en Afrique de l’ouest, réalisé dans le cadre du partenariat régional FAWE-Plan-UNICEF-Ancefa-Aide et Action.
Poursuivant son propos, Mme Mbaye a déclaré qu’il reste beaucoup de défis à relever dans le domaine de l’éducation, malgré les nombreuses interventions des partenaires techniques et financiers des Etats. « C’est pourquoi, a-t-elle ajouté, il faut harmoniser les interventions afin d’éviter les doublons. Cela est même une nécessité. D’où l’importance de notre partenariat régional« .
Au Sénégal, c’est dans les régions sud notamment Kolda et nord (Matam et Saint-Louis) où le taux de scolarisation des filles est encore faible, a-t-elle a indiqué, expliquant cette situation par plusieurs facteurs dont les violences faites aux filles, le manque d’infrastructures adaptées à leur situation et les mariages précoces.
Partant de là, selon Ramata Almamy Mbaye, »il vaut mieux communiquer et mieux partager sur les bonnes pratiques adoptées çà et là qui ont permis de booster le taux de scolarisation des filles. Au-delà de ces bonnes pratiques, il faut aller vers un projet régional engageant chaque organisation partenaire en faveur de l’éducation des filles« .
© Camer Post avec © APA