Les choses vont vite dans ce qu’on pouvait appeler « l’affaire Keur Madamel » pour laquelle le journaliste Cheikh Yérim Seck est arrêté depuis samedi dernier. Poursuivi pour viol sur une fille qui serait âgée de 19 ans, l’ancien collaborateur de l’hebdomadaire panafricain « Jeune Afrique » est pensionnaire de la maison d’arrêt et de correction (Mac) de Reubeuss depuis hier. Placé sous mandat de dépôt, le propriétaire du site d’informations « Dakaractu.com », sera jugé en flagrant délit demain mercredi. De sources judiciaires, Cheikh Yérim Seck que des éléments de l’enquête auraient enfoncé, risque une lourde peine ferme.
Pis encore, à entendre nos interlocuteurs, le journaliste n’a aucune chance de se tirer d’affaire, dans la mesure où d’autres jeunes filles qui se disent victimes de ses « agissements », jurent de déposer une plainte contre lui. Pour rappel, Cheikh Yérim Seck a été mis aux arrêts depuis samedi dernier, suite à une plainte déposée par la famille d’Aïssata Tall, qui lui reproche d’avoir forcé la jeune fille à entretenir avec lui des rapports sexuels à l’hôtel Keur Madamel, sis à Ngor.
Cheikh Yérim Seck aurait entretenu une relation amoureuse avec cette jeune fille, rencontrée lors d’une émission de télévision sur le monde étudiant. Malgré la forte implication de bonnes volontés qui voulaient « gérer » l’affaire à l’amiable, notre confrère fera face au juge ce mercredi.
source loffice
Pis encore, à entendre nos interlocuteurs, le journaliste n’a aucune chance de se tirer d’affaire, dans la mesure où d’autres jeunes filles qui se disent victimes de ses « agissements », jurent de déposer une plainte contre lui. Pour rappel, Cheikh Yérim Seck a été mis aux arrêts depuis samedi dernier, suite à une plainte déposée par la famille d’Aïssata Tall, qui lui reproche d’avoir forcé la jeune fille à entretenir avec lui des rapports sexuels à l’hôtel Keur Madamel, sis à Ngor.
Cheikh Yérim Seck aurait entretenu une relation amoureuse avec cette jeune fille, rencontrée lors d’une émission de télévision sur le monde étudiant. Malgré la forte implication de bonnes volontés qui voulaient « gérer » l’affaire à l’amiable, notre confrère fera face au juge ce mercredi.
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