Une mission médicale et paramédicale coordonnée par l’ASBL Action Sénégal. «Nous finançons une grosse partie des médicaments pour cette mission médicale à St-Louis du Sénégal», développe Marie-Pierre Decocq, présidente de l’association tournaisienne. «De plus, chaque personne du groupe emmènera à peu près 46 kg de matériel médical, médicaments de premiers soins et lunettes dans ses bagages.»
L’équipe est composée de 22 personnes de la région : des médecins (un pneumologue et des généralistes dont le Dr Michel Pratte, membre de l’ASBL), des infirmières (dont Marion Debusschere et Anne Ladeuze, déjà très actives au sein de l’association), des dentistes (dont Catherine Peeters, qui a déjà participé à d’autres missions d’Action Sénégal), un opticien (Didier Lippinois) et des bénévoles, membres d’Action Sénégal (dont leur présidente, Marie-Pierre Decocq).
«Tous sont sympathisants d’Action Sénégal et effectueront leur travail de manière bénévole. De plus, ils financent personnellement leur billet d’avion et leurs frais de logement.»
Ce n’est pas la première fois que les médecins tournaisiens se rendent dans la région de St-Louis. «En 2012 déjà, Action Sénégal était venu en aide au dispensaire de Guet N’dar pour une somme d’environ 10 000 euros en matériel médical et médicaments. Prochainement, Action Sénégal enverra également un appareil de radio mobile pour ce dispensaire.»
Et pour organiser ce périple, Action Sénégal peut compter sur l’aide d’Alioune Diagne. «Il est pharmacien là-bas, a élaboré le programme et gère sur place la logistique et l’organisation.»
Une équipe motivée
Pendant ces quelques jours, les membres d’Action Sénégal ne compteront pas leurs heures de travail. «Il s’agit d’une magnifique équipe motivée et dynamique. Elle doit s’attendre à des milliers de personnes à soigner, des files d’attente en sachant qu’au Sénégal, les soins médicaux coûtent très chers pour la population et qu’il n’y a pas de sécurité sociale. Il manque cruellement de matériel médical et de médicaments de premiers soins, là – bas.»
Pendant cette mission, la présidente de l’ASBL tournaisienne en profitera pour nouer d’autres contacts. «Je dois rencontrer des ingénieurs de l’université de St-Louis et les responsables de la société d’aménagement du territoire et du delta du fleuve Sénégal (SAED) pour la mise en place d’un chantier gigantesque (14 000 euros dans un premier temps): l’enlèvement des 35 000 m3 d’alluvions dans un cours d’eau du Sahel et la construction d’un barrage dans le long terme. En effet, l’épaisse couche d’alluvions empêche l’eau du fleuve d’arriver à hauteur des villages où il n’est plus possible de cultiver (sans irrigation et avec des températures qui varient entre 50 et 60 degrés).»
lavenir.net
L’équipe est composée de 22 personnes de la région : des médecins (un pneumologue et des généralistes dont le Dr Michel Pratte, membre de l’ASBL), des infirmières (dont Marion Debusschere et Anne Ladeuze, déjà très actives au sein de l’association), des dentistes (dont Catherine Peeters, qui a déjà participé à d’autres missions d’Action Sénégal), un opticien (Didier Lippinois) et des bénévoles, membres d’Action Sénégal (dont leur présidente, Marie-Pierre Decocq).
«Tous sont sympathisants d’Action Sénégal et effectueront leur travail de manière bénévole. De plus, ils financent personnellement leur billet d’avion et leurs frais de logement.»
Ce n’est pas la première fois que les médecins tournaisiens se rendent dans la région de St-Louis. «En 2012 déjà, Action Sénégal était venu en aide au dispensaire de Guet N’dar pour une somme d’environ 10 000 euros en matériel médical et médicaments. Prochainement, Action Sénégal enverra également un appareil de radio mobile pour ce dispensaire.»
Et pour organiser ce périple, Action Sénégal peut compter sur l’aide d’Alioune Diagne. «Il est pharmacien là-bas, a élaboré le programme et gère sur place la logistique et l’organisation.»
Une équipe motivée
Pendant ces quelques jours, les membres d’Action Sénégal ne compteront pas leurs heures de travail. «Il s’agit d’une magnifique équipe motivée et dynamique. Elle doit s’attendre à des milliers de personnes à soigner, des files d’attente en sachant qu’au Sénégal, les soins médicaux coûtent très chers pour la population et qu’il n’y a pas de sécurité sociale. Il manque cruellement de matériel médical et de médicaments de premiers soins, là – bas.»
Pendant cette mission, la présidente de l’ASBL tournaisienne en profitera pour nouer d’autres contacts. «Je dois rencontrer des ingénieurs de l’université de St-Louis et les responsables de la société d’aménagement du territoire et du delta du fleuve Sénégal (SAED) pour la mise en place d’un chantier gigantesque (14 000 euros dans un premier temps): l’enlèvement des 35 000 m3 d’alluvions dans un cours d’eau du Sahel et la construction d’un barrage dans le long terme. En effet, l’épaisse couche d’alluvions empêche l’eau du fleuve d’arriver à hauteur des villages où il n’est plus possible de cultiver (sans irrigation et avec des températures qui varient entre 50 et 60 degrés).»
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