La section de Guet Ndar, en bouclier, pour défendre Ahmet Fall.
« Nous étions dans la joie lorsqu’un jour nous avons appris ces fausses accusations sur Ahmet Fall, notre président. Il n’y a aucune malversation financière dans l’organisation de cet événement et notre engagement sur la voie du mourisdisme n’est pas guidée par la recherche de profit », a dit Mamadou Ba, le porte parole de ce collectif qui a tenu un point de presse, ce mardi.
« Tous les mbacké-mbacké ont été hébergés. Nous avons quitté nos maisons pour les mettre à la disposition des pèlerins. Que ceux qui alimentent ces supputations se montrent à visage découvert. Nous resterons engagés derrière Ahmeth Fall. Ceux qui veulent que Guet Ndar renforce son action dans le Maggal doivent le laisser travailler tranquillement à la tète du Kurel », ajoute le SG de la section de Guet Ndar.
« Nous ne recevons rien du Kurel et nous n’attendons rien de lui. Cette rencontre avec la presse a été organisée à l’insu du Kurel. Nous dénonçons ces accusations mensongères jusqu’ à la dernière énergie et nous tenons à dire à tout le monde que nous accompagnerons notre président sur tous les fronts », ajoute M. Dièye.
"Nous ne manipulons pas des centaines de millions"
Le linge sale se lave en famille et le Kurel promet de sermonner les auteurs de ces écarts de langage jugés inacceptables. « Nous avons un manuel de procédure qui délimite l’action du bureau et force chaque membre du bureau à travailler dans la clarté. Ahmet Fall n’a pas à autoriser la remise d’un seul sac de riz à une tierce personne. Je ne vois pas comment il peut commettre une malversation », souligne Oumar Diallo, le chargé de la Communication du Kurel.
« Nous ne manipulons pas des centaines de millions. Les dettes du Kurel ont été payées de nos poches », dit-il en précisant que les fautes des « brebis galleuses » ne doivent pas être mises sur le dos de tous. « Chaque membre détient une lettre de mission, claire et nette qui délimite les pouvoirs », ajoute Oumar Diallo.
En balayant d’un revers de main, les accusations d’abus et d’accaparement de pouvoirs évoqué par l’autre camp, il a révélé que les intentions qui sont les sources de ces remous sont purement personnelles.
« Le kurel n’est pas un mouvement politique, dira t-il, c’est un engagement collectif au service de Serigne Touba ».
En outre, il a assuré que «ceux qui ont été extirpées doivent comprendre qu’avec la présence de la délégation gouvernementale, les dispositions sécuritaires doivent changer ». Il se félicite de la réussite enregistrée par l’organisation de l’édition 2013 de ce Maggal.
Ndarinfo.com
« Nous étions dans la joie lorsqu’un jour nous avons appris ces fausses accusations sur Ahmet Fall, notre président. Il n’y a aucune malversation financière dans l’organisation de cet événement et notre engagement sur la voie du mourisdisme n’est pas guidée par la recherche de profit », a dit Mamadou Ba, le porte parole de ce collectif qui a tenu un point de presse, ce mardi.
« Tous les mbacké-mbacké ont été hébergés. Nous avons quitté nos maisons pour les mettre à la disposition des pèlerins. Que ceux qui alimentent ces supputations se montrent à visage découvert. Nous resterons engagés derrière Ahmeth Fall. Ceux qui veulent que Guet Ndar renforce son action dans le Maggal doivent le laisser travailler tranquillement à la tète du Kurel », ajoute le SG de la section de Guet Ndar.
« Nous ne recevons rien du Kurel et nous n’attendons rien de lui. Cette rencontre avec la presse a été organisée à l’insu du Kurel. Nous dénonçons ces accusations mensongères jusqu’ à la dernière énergie et nous tenons à dire à tout le monde que nous accompagnerons notre président sur tous les fronts », ajoute M. Dièye.
"Nous ne manipulons pas des centaines de millions"
Le linge sale se lave en famille et le Kurel promet de sermonner les auteurs de ces écarts de langage jugés inacceptables. « Nous avons un manuel de procédure qui délimite l’action du bureau et force chaque membre du bureau à travailler dans la clarté. Ahmet Fall n’a pas à autoriser la remise d’un seul sac de riz à une tierce personne. Je ne vois pas comment il peut commettre une malversation », souligne Oumar Diallo, le chargé de la Communication du Kurel.
« Nous ne manipulons pas des centaines de millions. Les dettes du Kurel ont été payées de nos poches », dit-il en précisant que les fautes des « brebis galleuses » ne doivent pas être mises sur le dos de tous. « Chaque membre détient une lettre de mission, claire et nette qui délimite les pouvoirs », ajoute Oumar Diallo.
En balayant d’un revers de main, les accusations d’abus et d’accaparement de pouvoirs évoqué par l’autre camp, il a révélé que les intentions qui sont les sources de ces remous sont purement personnelles.
« Le kurel n’est pas un mouvement politique, dira t-il, c’est un engagement collectif au service de Serigne Touba ».
En outre, il a assuré que «ceux qui ont été extirpées doivent comprendre qu’avec la présence de la délégation gouvernementale, les dispositions sécuritaires doivent changer ». Il se félicite de la réussite enregistrée par l’organisation de l’édition 2013 de ce Maggal.
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