Saint-Louis, 14 sept (APS) - Le centre expérimental de Ndiol a besoin de ressources humaines mais également de magasins de stockage pour sécuriser les semences, selon le directeur scientifique de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) Dr Ladji Traoré.
‘’Au-delà des ressources humaines, nous avons besoins d’infrastructures notamment de magasins pour stocker les semences produites’’, a dit M. Keita en visite au centre expérimental de Ndiol en marge de l’atelier de quatre jours (10 au 13 septembre) organisé à Saint-Louis pour la plancher sur la programmation 2014-2015.
L’ISRA, selon lui, ‘’a été obligée de louer des bâches pour mettre à l’abri ses semences d’arachides qui ont atteint cette année un record de 80 tonnes sur un objectif préalable de 65 fixés par les autorités étatiques’’.
Le directeur scientifique de l’ISRA s’est dit ‘’confiant’’ quant à l’atteinte des objectifs de renouvellement du capital semencier pour lequel 1,3 à 3 millions sont annuellement consacrés. Il a invité l’Etat à accompagner davantage les structures de recherche.
Selon lui, l’ISRA a encore besoin de recruter du personnel, pour faire face aux départs à la retraite, mais aussi d’engins et de tracteurs pour mener à bien ses activités.
Le chef du centre de l’ISRA Abdoul Aziz Mbaye, avait plaidé, à l’ouverture de cet atelier, l’urgence de recruter de nouveaux agents.
M. Mbaye souhaite le "renouvellement des effectifs" du centre de l’ISRA à Saint-Louis, c’est-à-dire "le recrutement de chercheurs et de techniciens, pour remplacer ceux qui vont à la retraite", soulignant que l’établissement parvenait à atteindre ses objectifs de production.
"Si nous avons suffisamment de terres, nous pouvons faire mieux", a ajouté M. Mbaye, soulignant que le centre de Saint-Louis loue des terres pour dérouler ses activités.
Des "démarches" sont en cours, dans le but de "résoudre ce problème", selon Abdoul Aziz Mbaye, relevant que l’ISRA mène actuellement des recherches pour améliorer la production de riz, surtout en période de contre-saison, où le froid freine le développement de certaines cultures, dont le blé.
APS
‘’Au-delà des ressources humaines, nous avons besoins d’infrastructures notamment de magasins pour stocker les semences produites’’, a dit M. Keita en visite au centre expérimental de Ndiol en marge de l’atelier de quatre jours (10 au 13 septembre) organisé à Saint-Louis pour la plancher sur la programmation 2014-2015.
L’ISRA, selon lui, ‘’a été obligée de louer des bâches pour mettre à l’abri ses semences d’arachides qui ont atteint cette année un record de 80 tonnes sur un objectif préalable de 65 fixés par les autorités étatiques’’.
Le directeur scientifique de l’ISRA s’est dit ‘’confiant’’ quant à l’atteinte des objectifs de renouvellement du capital semencier pour lequel 1,3 à 3 millions sont annuellement consacrés. Il a invité l’Etat à accompagner davantage les structures de recherche.
Selon lui, l’ISRA a encore besoin de recruter du personnel, pour faire face aux départs à la retraite, mais aussi d’engins et de tracteurs pour mener à bien ses activités.
Le chef du centre de l’ISRA Abdoul Aziz Mbaye, avait plaidé, à l’ouverture de cet atelier, l’urgence de recruter de nouveaux agents.
M. Mbaye souhaite le "renouvellement des effectifs" du centre de l’ISRA à Saint-Louis, c’est-à-dire "le recrutement de chercheurs et de techniciens, pour remplacer ceux qui vont à la retraite", soulignant que l’établissement parvenait à atteindre ses objectifs de production.
"Si nous avons suffisamment de terres, nous pouvons faire mieux", a ajouté M. Mbaye, soulignant que le centre de Saint-Louis loue des terres pour dérouler ses activités.
Des "démarches" sont en cours, dans le but de "résoudre ce problème", selon Abdoul Aziz Mbaye, relevant que l’ISRA mène actuellement des recherches pour améliorer la production de riz, surtout en période de contre-saison, où le froid freine le développement de certaines cultures, dont le blé.
APS