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Aujourd’hui, « nous avons des centaines de conseillers dans les localités que nous avons ciblées pour travailler dans la gouvernance locale », a renseigné, vendredi, Mansour NDIAYE, le président du mouvement, au cours de cet entretien exclusif qu’il a accordé à NdarInfo.com.
Le renforcement de sa base, en cours, l’Udr prépare activement les prochaines joutes électorales à travers les bastions électoraux du pays et par une « approche innovante », selon M. NDIAYE.
Déjà, l’accompagnement accordé aux jeunes et aux femmes produit ses résultats. «
« Des députés en exercice nous rejoignent et des maires. Des organisations professionnelles sont en train de travailler en synergie avec le parti », a révélé l’expert en microfinance.
« Du premier village après la ville de Saint-Louis au dernier à Dagana, il n’y a pas un groupement de femmes que nous n’avons pas financé d’au moins 100.000 FCFA par personne. Nous avons rapproché le financement », a-t-il dit, en rappelant que la politique d’autonomisation des femmes, entreprise dans les zones rurales par son mouvement va s’intensifier, « sans clivages politiques ». Un programme similaire est déroulé, est même moment, à Ngnith, une zone à fort potentiel agricole.
Parallèlement, l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes sont soutenus et encadrés. « Nous avons identifié des projets structurants au bénéfice des jeunes avec l’aménagement de 100 hectares qui permet les fixer sur les terroirs, à Ross-Béthio. Ce projet cible 350 jeunes », a dit l’ancien candidat à l’élection présidentielle.
Cette dynamique s’inscrit dans une volonté de solutionner « la question précaire de l’emploi des jeunes » qui, pour M. NDIAYE, est une vraie bombe.
« Avec ces différentes actions, nous avons touché 510 jeunes qui pratiquent l’agriculture sur au moins 6 spéculations. Cette activité leur permettra de travailler durant toute l’année », a-t-il expliqué.
Le chef de file de Dooley Yaakar a, par ailleurs, apprécié la gestion de sa localité, en évoquant une « désillusion » des populations, conséquence des nombreuses promesses non tenues par une municipalité confiée aux mains de l’Alliance pour la République( Apr).
« Il n’y a pas de dialogue à Ross-Béthio. Les acteurs de développement ne sont pas impliqués dans la gestion. Figurez-vous que depuis les élections locales, il n’y a pas de contact sérieux avec le maire et moi », confie-t-il, en mettant l’accent sur la nécessité de la mise sur pied d’un « cadre institutionnel de travail », à l’image de la plateforme collaborative installée par le maire sortant Babacar DIOP.
« L’assainissement et le cadre de vie sont des désastres », a-t-il martelé, en proclamant, ferme et sans ambages, « il faut être courageux pour diriger une collectivité locale ».
Des craintes de la privation des forages et se lot de grincements de dents, en passant par la détention qu’il juge « injustifiée » de l’Imam Alioune NDAO, de l’urgence d’asseoir une relation saine et sincère entre le Pouvoir et les populations, Mansour NDIAYE invite, en outre, la jeunesse à s’inscrire massivement sur les listes électorales et à faire du travail, le socle de son émergence.
Le renforcement de sa base, en cours, l’Udr prépare activement les prochaines joutes électorales à travers les bastions électoraux du pays et par une « approche innovante », selon M. NDIAYE.
Déjà, l’accompagnement accordé aux jeunes et aux femmes produit ses résultats. «
« Des députés en exercice nous rejoignent et des maires. Des organisations professionnelles sont en train de travailler en synergie avec le parti », a révélé l’expert en microfinance.
« Du premier village après la ville de Saint-Louis au dernier à Dagana, il n’y a pas un groupement de femmes que nous n’avons pas financé d’au moins 100.000 FCFA par personne. Nous avons rapproché le financement », a-t-il dit, en rappelant que la politique d’autonomisation des femmes, entreprise dans les zones rurales par son mouvement va s’intensifier, « sans clivages politiques ». Un programme similaire est déroulé, est même moment, à Ngnith, une zone à fort potentiel agricole.
Parallèlement, l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes sont soutenus et encadrés. « Nous avons identifié des projets structurants au bénéfice des jeunes avec l’aménagement de 100 hectares qui permet les fixer sur les terroirs, à Ross-Béthio. Ce projet cible 350 jeunes », a dit l’ancien candidat à l’élection présidentielle.
Cette dynamique s’inscrit dans une volonté de solutionner « la question précaire de l’emploi des jeunes » qui, pour M. NDIAYE, est une vraie bombe.
« Avec ces différentes actions, nous avons touché 510 jeunes qui pratiquent l’agriculture sur au moins 6 spéculations. Cette activité leur permettra de travailler durant toute l’année », a-t-il expliqué.
Le chef de file de Dooley Yaakar a, par ailleurs, apprécié la gestion de sa localité, en évoquant une « désillusion » des populations, conséquence des nombreuses promesses non tenues par une municipalité confiée aux mains de l’Alliance pour la République( Apr).
« Il n’y a pas de dialogue à Ross-Béthio. Les acteurs de développement ne sont pas impliqués dans la gestion. Figurez-vous que depuis les élections locales, il n’y a pas de contact sérieux avec le maire et moi », confie-t-il, en mettant l’accent sur la nécessité de la mise sur pied d’un « cadre institutionnel de travail », à l’image de la plateforme collaborative installée par le maire sortant Babacar DIOP.
« L’assainissement et le cadre de vie sont des désastres », a-t-il martelé, en proclamant, ferme et sans ambages, « il faut être courageux pour diriger une collectivité locale ».
Des craintes de la privation des forages et se lot de grincements de dents, en passant par la détention qu’il juge « injustifiée » de l’Imam Alioune NDAO, de l’urgence d’asseoir une relation saine et sincère entre le Pouvoir et les populations, Mansour NDIAYE invite, en outre, la jeunesse à s’inscrire massivement sur les listes électorales et à faire du travail, le socle de son émergence.
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