TEUDD BITI situé à une dizaine de kilomètres de la Commune de MPAL a vibré, ce weekend, au rythme de ses 72 heures annuelles. Des sensibilisations sur le paludisme et des consultations gratuites ont été déroulées en marge d’une forte mobilisation des populations des localités environnantes.
Des moustiquaires imprégnées ont été également remises aux populations qui ont profité de cette occasion pour exposer leurs doléances.
« Les autorités ne nous prennent pas en considération », regrette le président des jeunes qui ne peut comprendre l’indisponibilité de l’eau dans les concessions. Les villageois étanchent leur soif à travers des bornes-fontaines publiques.
« L’école primaire du village ne compte que 4 salles de classe », a-t-il déploré en saluant l’appui d’Ibrahima DIOP pour l’organisation de ces journées.
Depuis 30 ans, cette case de santé est là. Elle n’a pas évolué. Elle manque de tout. Nous n’avons pas de médicaments disponibles ou d’une ambulance pour le transfert des malades ».
« Pour les visites prénatales et les accouchements, ont nous oriente vers MPAL ou à Saint-Louis. Pour nous rendre sur la route nationale, nous sommes obligées de prendre des charrettes », a-t-elle expliqué.
>>> Voici leur cri de coeur ...
Des moustiquaires imprégnées ont été également remises aux populations qui ont profité de cette occasion pour exposer leurs doléances.
« Les autorités ne nous prennent pas en considération », regrette le président des jeunes qui ne peut comprendre l’indisponibilité de l’eau dans les concessions. Les villageois étanchent leur soif à travers des bornes-fontaines publiques.
« L’école primaire du village ne compte que 4 salles de classe », a-t-il déploré en saluant l’appui d’Ibrahima DIOP pour l’organisation de ces journées.
Depuis 30 ans, cette case de santé est là. Elle n’a pas évolué. Elle manque de tout. Nous n’avons pas de médicaments disponibles ou d’une ambulance pour le transfert des malades ».
« Pour les visites prénatales et les accouchements, ont nous oriente vers MPAL ou à Saint-Louis. Pour nous rendre sur la route nationale, nous sommes obligées de prendre des charrettes », a-t-elle expliqué.
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