Depuis ce matin, la communauté « Layènes » afflue en masse à Diamalaye-Cambérène pour les besoins de la célébration du 134ème appel du « Mahdi ». Ladite édition portant sur la « Zakat », Seydina Limamou Laye n’avait toutefois pas manqué de lancer une croisade contre le tabac.
Parmi ces enseignements révolutionnaires, dès le lancement de son Appel, il appelait à l’interdiction de l’usage du tabac. Ce 31 mai décrété par l’ONU journée de lutte contre le tabac depuis 1988 coïncide par ailleurs avec le 1er cha’bân, jour où a eu lieu cet Appel. Ce qui fait de Cambérène et Yoff layène sont des zones non-fumeurs depuis plus d’un siècle.
Aujourd’hui, selon le communiqué parvenu à notre rédaction, le constat est là : Plus d’un siècle après ce retentissant Appel, toute une campagne est menée d’abord sous l’égide de l’ONU ensuite au niveau des Etats avec le vote de lois anti-tabac qui vont jusqu’à interdire son usage dans des espaces dits publics.
Le Sénégal n’est pas en reste. En effet, le vendredi 14 mars 2014, l’Assemblée nationale a voté une loi anti-tabac qui non seulement interdit de fumer dans des lieux publics mais aussi combat la publicité portant sur des cigarettes et le parrainage des manifestations par les firmes de tabac. Avec en prime des sanctions pénales pour les contrevenants. Il s’agit de la loi N°09/2013, relative à la fabrication, au conditionnement, à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac.
Si Dieu a fait coïncider la célébration de l’Appel à cette journée internationale, ce n’est point le fruit du hasard. Il est temps que l’humanité sache que Seydina Limamou Lahi a interdit tout usage du tabac non pas aux seuls layènes mais au monde entier puisque son message est universel.
Le tabac, rappelons-le, est responsable de 30 % des cancers au Sénégal. Il tue plus que le VIH/Sida, le Paludisme et la Tuberculose réunis. D’ailleurs, selon la Ligue Sénégalaise contre le Cancer (Lisca), le tabac est aussi responsable de 25 % des maladies du cœur et 85 % des maladies des poumons.
Chaque année, on estime à 20 000 le nombre de nouveaux cas de cancer au Sénégal, avec un taux de mortalité estimé entre 70 et 80 %. Rien qu’à l’Institut du cancer de l’Hôpital Le Dantec, on enregistre à peu près 1 000 cas de cancer par an.
Parmi ces enseignements révolutionnaires, dès le lancement de son Appel, il appelait à l’interdiction de l’usage du tabac. Ce 31 mai décrété par l’ONU journée de lutte contre le tabac depuis 1988 coïncide par ailleurs avec le 1er cha’bân, jour où a eu lieu cet Appel. Ce qui fait de Cambérène et Yoff layène sont des zones non-fumeurs depuis plus d’un siècle.
Aujourd’hui, selon le communiqué parvenu à notre rédaction, le constat est là : Plus d’un siècle après ce retentissant Appel, toute une campagne est menée d’abord sous l’égide de l’ONU ensuite au niveau des Etats avec le vote de lois anti-tabac qui vont jusqu’à interdire son usage dans des espaces dits publics.
Le Sénégal n’est pas en reste. En effet, le vendredi 14 mars 2014, l’Assemblée nationale a voté une loi anti-tabac qui non seulement interdit de fumer dans des lieux publics mais aussi combat la publicité portant sur des cigarettes et le parrainage des manifestations par les firmes de tabac. Avec en prime des sanctions pénales pour les contrevenants. Il s’agit de la loi N°09/2013, relative à la fabrication, au conditionnement, à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac.
Si Dieu a fait coïncider la célébration de l’Appel à cette journée internationale, ce n’est point le fruit du hasard. Il est temps que l’humanité sache que Seydina Limamou Lahi a interdit tout usage du tabac non pas aux seuls layènes mais au monde entier puisque son message est universel.
Le tabac, rappelons-le, est responsable de 30 % des cancers au Sénégal. Il tue plus que le VIH/Sida, le Paludisme et la Tuberculose réunis. D’ailleurs, selon la Ligue Sénégalaise contre le Cancer (Lisca), le tabac est aussi responsable de 25 % des maladies du cœur et 85 % des maladies des poumons.
Chaque année, on estime à 20 000 le nombre de nouveaux cas de cancer au Sénégal, avec un taux de mortalité estimé entre 70 et 80 %. Rien qu’à l’Institut du cancer de l’Hôpital Le Dantec, on enregistre à peu près 1 000 cas de cancer par an.