Mardi 3 décembre 2024, 121 personnes, dont sept femmes et huit mineurs, ont été secourues à bord d’une pirogue à proximité d’El Hierro, une île des Canaries. Les premières informations faisaient état de neuf femmes et d’un nourrisson, mais le décompte final, fourni par l’agence gouvernementale, a précisé le nombre à sept femmes et huit enfants.
La pirogue, partie de Nouakchott, capitale de la Mauritanie, il y a quatre jours, transportait des migrants de dix nationalités : Mauritanie, Sénégal, Gambie, Mali, Guinée-Conakry, Côte d'Ivoire, Burkina Faso, Cameroun, Comores et Pakistan.
Secourus par le Salvamento Marítimo, les migrants ont été transférés à bord du Salvamar Adhara jusqu’au quai de La Restinga, sur El Hierro. Aucun des passagers n’a nécessité de soins médicaux à l’hôpital insulaire Virgen de los Reyes.
Ces personnes seront hébergées au Centre d'accueil temporaire des étrangers (CATE), situé dans le village de San Andrés, municipalité de Valverde. Là, elles recevront l’aide du collectif d’ONG "Corazón naranja - Ebrima Sonko" et resteront sous la surveillance de la police avant d’être transférées vers d’autres structures d’accueil en dehors de l’île.
Ce sauvetage met en lumière les risques extrêmes encourus par les migrants dans leur quête de meilleures conditions de vie, ainsi que l'engagement des équipes de secours et des ONG dans leur prise en charge.
SENEWEB
La pirogue, partie de Nouakchott, capitale de la Mauritanie, il y a quatre jours, transportait des migrants de dix nationalités : Mauritanie, Sénégal, Gambie, Mali, Guinée-Conakry, Côte d'Ivoire, Burkina Faso, Cameroun, Comores et Pakistan.
Secourus par le Salvamento Marítimo, les migrants ont été transférés à bord du Salvamar Adhara jusqu’au quai de La Restinga, sur El Hierro. Aucun des passagers n’a nécessité de soins médicaux à l’hôpital insulaire Virgen de los Reyes.
Ces personnes seront hébergées au Centre d'accueil temporaire des étrangers (CATE), situé dans le village de San Andrés, municipalité de Valverde. Là, elles recevront l’aide du collectif d’ONG "Corazón naranja - Ebrima Sonko" et resteront sous la surveillance de la police avant d’être transférées vers d’autres structures d’accueil en dehors de l’île.
Ce sauvetage met en lumière les risques extrêmes encourus par les migrants dans leur quête de meilleures conditions de vie, ainsi que l'engagement des équipes de secours et des ONG dans leur prise en charge.
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